Tendres réalités

 

Tu peignais la lumière

Sur la porte interdite,

Mais tu peignais l’inconnu

Quand tu la fis céder.

Et s’épuise, de ce temps,

Dans le silence des ombres,

La sève que je te vole.

 

24/06/1979

Recueil « En ce troisième jour vint…L’EKSEPCION »

 

Leave a Reply

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *


Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.