« A magasin pourri clients pourris »

10/12/2016 Bonjour à toutes et à tous,

A magasin pourri clients pourris - Crédit photo izart.fr

A magasin pourri clients pourris – Crédit photo izart.fr

A magasin pourri… clients pourris !

Me voilà donc ce jour-là dans un magasin pourri mais proche de chez moi pour chercher un pot de fleurs.

Je sais, ce n’est pas la saison, mais mes boutures sont bien enracinées et je veux leur offrir un bon terreau pour faire une jolie coupe version Inde 🙂

Oui, même si je ne mets presque jamais les pieds dans cette grande surface, ni dns d’autres d’ailleurs, cette fois, je vais au plus près.

Et traverse direct les rayons pour me diriger vers l’espace jardin, après avoir quand même retiré mes gants.

A ce moment-là, je me rends compte que ma filoche a disparu.

Et oui, engoncée dans mon anorak, je l’ai glissée sur la manche pour retirer mes gants justement, et elle a glissé malencontreusement.

Je fais marche arrière, dans le même rayon crèmerie, mais là rien par terre !

Un monsieur qui a vu la scène m’aborde.

« – Ah, vous avez perdu votre filoche, quelqu’un là vient juste de la ramasser, je l’ai vu faire » mais il ne retrouve plus la personne autour de nous.

Ma filoche - Crédit photo izart.fr

Ma filoche – Crédit photo izart.fr

Le genre de truc qui me fout les nerfs.

Ma filoche n’a vraiment aucune valeur, mais.

Je suis sûre que vous m’avez déjà vue ouatmille fois avec ma filoche à la main ou posée sur le siège de ma voiture 😉

Et ben voilà, y’a une connasse et/ou un connard qui me l’a/ont PIQUÉE, si si.

J’ai eu beau faire le tour des caddies à la ronde en me rendant à l’accueil, rien !

Même la dame à l’accueil a refusé de faire un appel micro genre la personne qui a trouvé une filoche est priée de la ramener…

Essayant même de me faire croire qu’on allait la apporter, mais personne bien sûr ne s’est présenté.

J’ai jeté un oeil 5 mn dans les chariots qui arrivaient en caisse, rien, nothing, niente, nichts…

Du coup, je suis sortie direct sans rien acheter.

Et sans même aller voir les pots de fleurs.

A magasin pourri clients pourris, c’est bien ce que je disais plus haut.

Ah oui, la filoche, c’était celle de maman du temps où elle montait à l’épicerie du village, voilà, aucune valeur.

Bien à vous,

Isabelle