« Je bosse au frais »

16/08/2016 Bonjour à toutes et à tous,

Je bosse au frais - Crédit photo izart.fr

Je bosse au frais – Crédit photo izart.fr

En fait, quand je ne pointe pas mon nez dehors pendant quelques temps, c’est que je bosse au frais.

Non que je passe l’été en prison, pas encore, mais comprenez sur mon ordinateur.

Plus précisément au montage vidéo ces derniers jours.

Car dans l’inventaire de mes possibles à la MacGyver, ainsi défini par mes kids, il y a toujours une petite caméra qui tourne.

Et quand je ne dégaine pas simultanément l’appareil photo du téléphone, c’est que mes doigts courent sur le clavier.

Non, non, je ne suis pas partie à la chasse aux Pokemon Go, même si vous m’avez vue planquer en de nombreux endroits.

En fait, je suis allée en repérage dans le village et ses environs, plusieurs jours de suite, et parfois jusqu’à 4 heures d’affilée.

Et me suis mise donc au frais pour visionner, mixer et monter le tout pour en extraire 2:54 de film.

Bravo, je me félicite, pour un premier jet, de n’avoir pas dépassé les 3:30 réglementaires !

Tout en battant la campagne, je réalisais qu’au moins mes cours de français m’avaient appris quelque chose, voire même plusieurs.

Dégager l’essentiel, être concise, éviter le remplissage, synthétiser, s’exprimer clairement, se faire comprendre.

Je ne crois pas en avoir oublié, et étrangement, ces termes sont restés en mémoire dans certaines de mes cellules.

Alors que pour d’autres matières, c’était et ça restera du chinois 🙁

Mais là, par contre, j’ai vidé la poubelle…

Je m’étais fixé comme challenge, après être tombée sur le concours, de boucler la vidéo en huit jours.

Je peux le faire !

Elle peut le faire !

D’abord parce que la création, c’est très énergivore, physiquement, moralement, matériellement et… socialement.

Donc, il faut que tous les ingrédients de base soient réunis le moment venu pour s’attaquer à la recette.

Je préfère travailler intensément et efficacement un minimum de temps, plutôt que de traîner et m’épuiser à la longue.

Oh, en fait, c’est un peu comme de tout.

Plus vous tardez et repoussez les choses que vous projetez de faire, plus vous entassez dans vos méninges tout ce bazar qui attend.

Qui attend.

Un jour, mon prince viendra AH AH AH  AH AH 🙂

Et mettra un grand coup de balai dans tout ça, lavera les p’tits rideaux puis les rependra aux fenêtres^^

Ça, c’est quand mon cerveau pète un câble après avoir trop cogité…

Allez, je vous raconte la suite demain, promis, là je vais faire redescendre la température 😉

Bien à vous,

Isabelle