« Chacune des cellules de notre corps »

Vous avez aimé :

28/04/2020 Bonjour à toutes et à tous,

La veille, au téléphone, je lui expliquais que notre corps est capable de tout.

Que son ultime mission est de nous garder en vie.

Que chacune des cellules de notre corps est programmée pour cela.

Et que nos douleurs et autres manifestations cutanées ne sont que l’expression d’un ressenti partagé par chaque cellule.

Oui, ça fait un peu complexe dit comme ça.

Mais pour certain·e·s c’est une évidence que la médecine nous dépossède de notre corps au fur et à mesure de l’avancée de sa science.

Aux gens qui pensent cela, notre capacité à intervenir sur nos propres cellules est familière.

Juste accepter que cela va prendre du temps à l’organisme pour se réparer, mais lui faire confiance.

Et que non, cela n’aura pas toujours l’effet instantané d’un cachet

Comprendre que nous sommes un tout, sensible et réagissant aux événements extérieurs est pourtant une réalité.

La peau, ce rempart qui nous sépare des autres mais qui est aussi notre protectrice va donc exprimer le plus de réactions.

Avec une surface de près de 2 m² et un poids d’environ 10 kg, elle est le plus grand organe du corps humain !

Réjouissez-vous que ce soit en surface et non en profondeur sinon ce serait pire, disait avec justesse mon homéopathe…

Je fus alors très étonnée, le lendemain, d’entendre rapporter des propos semblables tenus par La Mère !

Elle s’était ainsi guérie y a plusieurs reprises d’attaque de virus et autres microbes durant sa vie.

Un esprit sain dans un corps sain…

Quant aux interactions dans l’organisme, une information a retenu toute mon attention dans le brouhaha des pro, des anti et des pseudo en tout genre.

En effet, en Inde, la où tout le monde prédisait le pire en matière de mortalité liée à la pandémie, rien ne s’est passé comme prévu.

Les chiffres n’ont pas explosé, à peine plus que d’ordinaire dans ce si grand pays.

Par contre les États-Unis sont frappés de plein fouet, ce serait actuellement le pays le plus endeuillé par le COVID-19.

D’ici à en déduire qu’une alimentation simple, naturelle, frugale et végétarienne dans un pays moins industrialisé protégerait mieux…

Bien à vous,

Isabelle