« Datacenter dans ta gueule »

12/03/2021 Bonjour à toutes et à tous,

Bam… Datacenter dans ta gueule.

Excusez du peu, le raccourci était trop facile.

Entre nous, de notre côté on rigole bien…

Parce que OVH, toute la famille en avait tellement marre des services de ce big datacenter qu’on l’a quitté il y a quelques temps, ouf !

Depuis deux jours donc que le centre OVH de Strasbourg a cramé, il y a juste quelques millions de sites muets et de serveurs HS…

3,6 millions exactement.

Ça va faire désordre dans le CV de l’entreprise qui annonçait, en début de mois, son intention d’entrer en bourse

C’est à cause de la Lune noire, m’a dit l’autre soir mon ami indien, celle de Maha Shivaratri

Faut dire qu’ici, en Inde et précisément à Pondy, il s’en passe des choses aussi…

Tous ces derniers jours, la police patrouille les rues de la ville et arrête les voitures pour les fouiller minutieusement !

Nous sommes à 2 semaines des élections, ceci explique cela.

Et pour limiter la corruption, à savoir les pots de vin des deux partis en opposition, il est interdit de se balader avec plus d’une certaine somme d’argent sur soi.

Car cela tendrait à prouver que vous venez de vous faire acheter par un des candidats potentiel.

De plus, un communiqué vient de paraître, il y a trois cas COVID-19 diagnostiqués et en quarantaine à Auroville.

La première des conséquences a été l‘annulation d’un grand meeting pour aborder un conflit interne, raté.

Enfin retour des masques, plus protocole d’hygiène, distances sociales dans les épiceries et autres lieux de concentration humaine.

Peut-être même que cela va entraîner aussi une modération, voire l’arrêt de l’afflux de touristes indiens qui étaient les seuls visiteurs d’Auroville.

Tant mieux, me dit un collègue, on retrouvera le calme et la tranquillité auxquels on s’est tellement bien habitué…

Wait and see, on va attendre encore quelques semaines.

D’ici là les élections seront passées, la nuit aura retrouvé son calme aussi, rythmée tous ces derniers temps par des rituels musicaux.

Et on verra bien ce qu’il en ressortira !

Bien à vous,

Isabelle