« De ces hommes qu’on aime »

27/10/2017 Bonjour à toutes et à tous,

De ces hommes qu'on aime - Crédit photo izart.fr

De ces hommes qu’on aime – Crédit photo izart.fr

Do you speak english ? me demande t-il en tenant la porte de la salle de cinéma ouverte, pour me faciliter le passage.

Yes… mais je n’ai pas le temps d’en dire plus que déjà il engage la conversation en français avec le projectionniste-vendeur de billets à l’accueil 🙂

Sais pas, je dois peut-être avoir une tête d’anglaise

Du moins dans la nuit, puisque la séance est programmée à 21:00.

Et comme je n’avais pas rétabli la sonnerie de mon téléphone, j’ai zappé le rappel de la première séance à 18:00 🙁

Dommage, j’aurai bien vu les deux films programmés à la suite pour me faire une soirée ciné comme la dernière fois…

Mais le film que j’ai vu se suffisait à lui-même, réalisé avec sensibilité et intelligence, si vous avez eu l’occasion de voir Ôtez-moi d’un doute, un film de Carine Tardieu, impossible de dire le contraire.

Et si vous ne l’avez pas vu, courez le voir, parce que la réalisatrice de Du vent dans mes mollets a récidivé avec cette nouvelle perle 😉

C’est simplement beau, intelligent, sensible, subtil, respectueux, plein de surprise et d’humour… what else ???

De plus, j’adore le personnage incarné par François Damiens, acteur qui jouait aussi dans la Famille Bélier et l’Arnacoeur, deux autres excellents films.

Je pourrai dire la même chose du personnage masculin d’un autre film ; et incarné par Mathieu Kassovitz, que j’ai visionné également dans le ciné de mon village, De plus belle, réalisé par Anne-Gaëlle Daval.

Ben voilà, ils sont de ces hommes qu’on aime, et c’est bien aussi de le dire aussi haut et fort.

A mettre en parallèle avec l’actualité de ces derniers jours, où l’on balance les porcs de tout bord sur les réseaux sociaux…

Je voudrais juste être certaine que ces hommes-là, ils existent bien dans la vraie vie.

Je voudrais juste être convaincue que les deux hommes incarnés dans ces films ne sont pas des êtres sublimés pour cause de scénario écrit par… des femmes !

J’avoue qu’au cinéma, ils font rêver.

Bien à vous,

Isabelle