« De l’armoise jusque dans la culotte »

14/07/2017 Bonjour à toutes et à tous,

De l'armoise jusque dans la culotte - Crédit photo izart.fr

De l’armoise jusque dans la culotte – Crédit photo izart.fr

Ce jour-là, j’ai fermé la porte de la maison après avoir chargé la voiture, et me suis dirigée comme convenu chez la voisine pour lui remettre mes clefs.

Sauf que lorsque j’ai frappé, personne ne m’a répondu.

Qu’à cela tienne, mon autre voisin étant réveillé, je lui ai confié mes clefs à remettre à ma voisine 😉

Me suis engouffrée dans le métro après avoir déposé la voiture au parking, et quelques stations plus tard, je partais à la recherche d’un arrêt de car fantôme dans un carrefour tout en chantier…

Heureusement, après plusieurs tentatives de renseignements infructueuses auprès des passant-e-s , j’ai enfin trouvé un groupe de personnes qui l’attendaient aussi.

Oui, la station habituelle avait été déplacée pour cause de travaux, mais rien ne le signalait ni là ni ailleurs, bonjour la galère !

9:30 précises, valise cabine aux pieds et sac à dos sur le fauteuil d’à côté, j’embarquais à bord du Transisère pour 30 mn de voyage sans stress, et bien installée, nous étions deux passagères !

Arrivée comme convenue et les bagages chargés dans la voiture de S., nous avons repris la route en direction de sa maison.

Petit vin de noix, une fois, deux fois, petit repas une fois, deux fois, non, je rigole, un seul bon petit repas, un bon petit café et nous voilà en route, direction le lac de Saint Quentin Fallavier.

Après une mise en jambe avec une randonnée dans les bois autour du lac, puis la conquête du château fort, 7 km plus tard, nous nous glissons avec délice dans une eau à température exquise 🙂

Au fait, vous connaissez la particularité de ce château ?

Un très joli périmètre verdoyant est aménagé pour se poser après le bain, sous l’oeil vigilant du maître nageur, et beaucoup de gens s’y retrouvent en famille.

Inutile parfois de faire des centaines de kilomètre pour goûter aux joies de la baignade avec de jeunes enfants…

De retour à la maison,  tandis que S. enlève son maillot de bain pour le faire sécher, je vois quelque chose tomber sur le sol.

De l’armoise jusque dans la culotte !

Immense fou rire en se rappelant soudain de nos cueillettes le long du chemin, pour soigner des douleurs articulaires…

Bien à vous,

Isabelle