« E l’allegria la vien dai zòveni »
16/01/2025 Bonjour à toutes et à tous,

E l’allegria la vien dai zòveni, la chanson m’est revenue en tête, alors que je prenais place dans un train italien circulant à destination de Paris.
Juste à côté de mon siège, sur la vitre, il était précisément écrit en trois langues et en grosses lettres Aerea Allegro, association d’idées.
De quoi me mettre du baume au coeur, alors que je partais au petit matin, pour rejoindre, dès son ouverture, le service des visas pour l’Inde.
Pardon du peu, mais les bureaux ne sont ouverts que le matin, et on est reçu sans rendez-vous.
Ça me rappellait étrangement l’Ambassade du Cameroun à Marseille, alors que j’y accompagnais un ami, et où nous avions passé la journée dans la salle d’attente.
Mais par chance, pour moi tout s’était merveilleusement bien déroulé ce matin-là à Paris.
Après être arrivée au bureau où j’avais déjà envoyé mon dossier complet, cela ne prit que peu de temps pour enregistrer mes empreintes digitales et ma photo biométriques.
J’appris sans surprise que la durée du visa ne dépendait que du bon vouloir de l’Ambassade d’Inde.
En effet, je venais pour faire établir une demande de 5 ans mais la durée du visa délivré pouvait varier entre 1 et 5 ans, m’expliquait-on.
Par contre, je ne savais pas que l’Ambassade pouvait demander à me rencontrer avant de me délivrer ledit visa, et la perspective de refaire un aller-retour Lyon-Paris dans la journée ne m’enchanta guère.
Sans compter les frais occasionnés par le train et les métros parisiens et lyonnais, c’était de plus une journée dédiée uniquement à cela.
Bref, une fois de plus j’ai tout remis entre les mains de vous savez qui, humblement à Son service.
Bien à vous,
Isabelle