« Et Freddy a eu le mot de la fin »

29/01/2017 Bonjour à toutes et à tous,

Et Freddy a eu le mot de la fin - Crédit photo izart.fr

Et Freddy a eu le mot de la fin – Crédit photo izart.fr

J’étais en train de passer mon courrier en revue.

Un peu irritée que ma boîte mail soit parfois confondue avec une poubelle, non mais !

Et Freddy a eu le mot de la fin.

Vous savez, Freddy Mercury, le chanteur de génie du groupe Queen.

Ce jour-là, il est venu donner la réplique à toutes celles et ceux qui se mêlent encore des histoires de fesses des autres.

A se demander si des fois, elles ou ils n’ont pas assez à faire avec les leurs ?

Mais pourquoi, diable, mes yeux tombent-ils sur ce très bel hommage ?

Dès les premières images, je commence à comprendre…

Farrokh Bulsara, né à Zanzibar le 05 Septembre 1946 est… d’origine indienne 😉

A la lecture de ce scoop, ma colère s’envole avant même de se poser 🙂

C’est à l’âge de 8 ans qu’il quitte un continent pour un autre, et arrive seul à Mumbai, en Inde, après un voyage de 60 jours.

Pour y intégrer une école sur la terre maternelle, à Panchgani.

Au fur et à mesure que se déroule l’histoire de sa vie, je ne peux m’empêcher d’aimer encore davantage celui que j’ai toujours admiré.

Et mieux comprendre qu’il fut un personnage génial, dont la personnalité s’est épanouie dans la diversité.

Diversité culturelle, sociale, ethnique, religieuse, artistique, sexuelle, qui dit mieux ?

Voilà, sans aucun doute, toute sa richesse.

Après sa formation à polytechnique, il intègre une école d’art graphique et de design, créé sa ligne de mode, fait des BD…

Jusqu’au jour où se forme le groupe QUEEN qu’il ne quittera plus jamais.

Il laissera derrière lui tant et tant de créations artistiques, dont certaines prestations musicales exceptionnelles.

Tel ce duo improbable avec la soprano Montserrat Caballé en 1987 qui venait à l’encontre de toutes les conventions de l’époque !

Sachant qu’il ne pourrait plus composer, Freddy a eu le mot de la fin, le 24 novembre 1991, à l’âge de 45 ans.

Bien à vous,

Isabelle