« J’ai repoussé une sixième attaque »

12/08/2020 Bonjour à toutes et à tous,

J’ai repoussé une sixième attaque !

Comprenez bien des attaques de migraine

Ah ben oui, elles me travaillent au corps pour essayer de m’immobiliser comme jadis, pourquoi changer de paradigme ?

Sauf que non, il n’en est plus question à présent, cela appartient aux mensonges du passé.

Et je suis mieux armée, enfin déprogrammée, pour ne pas céder à leurs attaques.

Même plus peur depuis que j’ai commencé à entrapercevoir ce qu’il y a de l’autre côté du voile !

Allez les cellules, place à la joie comme je disais hier, faisons fi de tout ce qui grince, grimace, gronde, menace, grogne, hésite, renonce, effraie.

Bon, j’ai jeté un oeil quand même sur mon dossier en ligne extension de séjour, histoire de…

Et ben, rien n’a bougé ; merci au grand merci, depuis des semaines je n’ai plus de dossiers intempestifs à remplir, ça macère, ça macère !

Je m’astreins juste à cela tous les lundis, et des fois le mardi quand ça me pèse trop de rouvrir ce dossier sensible.

Mais comme j’ai pleine confiance en les événements et le pourquoi de mon séjour prolongé ici, je m’abandonne petit à petit.

Et parallèlement, je deviens de plus en plus sourde aux sirènes d’alarme.

Ce que l’on pourrait prendre pour un miracle, n’est enfin autre que la réalité dévoilée, celle cachée par le mensonge.

Le gros lourd de mental voudrait bien encore y mettre son grain de sel, avec ses angoisses, ses supputations et ses suppositions.

Ben non, ça va rester avec le Vieux monde, salut !

Je me souviens que lorsque j’avais une vingtaine d’années, déjà c’était une de mes grandes préoccupations, calmer le mental.

Je le savais, j’en avais conscience, mais je n’avais pas la clef.

Des années à pratiquer le travail interne des énergies, la méditation m’avaient déjà ouverte et préparée à bien des possibles.

Mais comme chez tout·e un·e chacun·e, le mental tenait les rênes et la gestion interne de l’administration, de l’intendance, de la trésorerie… et tutti quanti.

Alors d’accord, pour le bien commun et universel, on continue à communiquer en mode Marvelously Well ?

Bien à vous,

Isabelle