« Je rame tu râles ils rasent »

03/05/2021 Bonjour à toutes et à tous,

Je rame tu râles ils rasent.

Je rame à cause de l’ATM qui ne veut pas lâcher le magot pour la nième fois.

Tu râles à cause des débits de boisson qui sont fermés jusqu’à nouvel ordre.

Ils rasent les murs, peur sur la ville s’ancre dans les profondeurs de leurs cœurs.

Ah ben pour le coup c’est gagné, maintenant que tous les touristes ; uniquement indiens je vous rappelle, sont répartis après avoir été largement accueillis.

Du temps où il n’y avait personne d’autre que la population habituelle d’Auroville, plus quelques guest épars, dont moi à l’époque, no souci.

Et on a survécu même avec les restrictions du lockdown, sans restau, sans divertissement, sans terrasse, sans ice-cream, sans ciné…

Et pof, le pognon a remis son nez là-dedans… et tout a explosé !

Les gens testés positifs, les gens décédés par comorbidité, et la longue liste des recommandations et restrictions s’allonge.

Comme si 3, 4, 5 ou 6 jours après contact on allait pouvoir enrayer la machine… trop tard !

Des fois j’me dis que c’est ça la piqûre de rappel, pas la deuxième injection du vaccin anti-COVID.

D’ailleurs, c’est bien étonnant que ne soient pas communiqués les chiffres du nombre total de personnes testées ainsi que les chiffres du nombre de personnes testées négatif.

Ah ben oui, il en a eu autour de moi, et plus d’une ou d’un, mais pourquoi donc personne n’en parle ?

Allez on remue la boue à pieds joints, histoire de faire remonter des bulles à la surface pour que ça fasse encore plus glauque !

Ce serait peut-être l’occasion que toutes confinées et tous confinés prennent le temps de relire les propos de Mère ?

Notamment à propos de la peur, plutôt que de l’entretenir.

« 387 – La science médicale a été une malédiction plus qu’une bénédiction pour l’humanité. Certes, elle a brisé la violence des épidémies et découvert une chirurgie merveilleuse, mais elle a aussi affaibli la santé naturelle de l’homme et multiplié les maladies individuelles; elle a implanté dans le mental et dans le corps la peur et la dépendance; elle a appris à notre santé à ne pas s’appuyer sur la solidité naturelle mais sur la béquille branlante et répugnante des comprimés du règne minéral et végétal ». 12 Mars 1970 – Sri Aurobindo – Pensées et Aphorismes Traduits et commentés par La Mère – Tome II

Bien à vous,

Isabelle