« La com inversée »
05/06/2016 Bonjour à toutes et à tous,
La com inversée – Crédit photo izart.fr
La com inversée a parlé, et a eu gain de cause.
Venez à moi, moi qui ne vais pas à vous.
Étrange façon de communiquer, qui consiste à s’adresser à autrui, pour lui dire de venir à soi.
Si vous me suivez…
Une grande chance que la majorité des gens accorde encore leur confiance à quelques « baratineuses » et « baratineurs » de première dans ce pays.
VOUS_EN_AVEZ_MARRE_Page_1
Pas plus tard que cet après-midi, j’ai d’ailleurs entendu une personne râler publiquement contre une centaine de personnes qui tenaient le pays en otage avec les grèves, comme quoi ça marche 😉
Tenez, j’ai une lettre type sous la main à envoyer demain à votre employeur, oui, si vous en avez marre, faîtes-le savoir !
Petit bonus à visionner ici, comme un avertissement de ce qui nous attend, si on continue comme ça…
Heureusement que pendant ce temps d’autres réfléchissent à ce qu’ils peuvent faire, à leur niveau, pour agir et changer le monde en mieux, ben oui, do it yourself 🙂
Ainsi, j’aime bien ce que propose 1 Piece of Rubbish, une initiative citoyenne venue de Marseille.
Le Concept : que chacun ramasse 1 déchet par jour.
Pour rendre nos rues et nos villes plus propres, donc un futur plus propre…
A vous de jouer :
- RAMASSE devant chez toi, au boulot, en terrasse, devant l’école, dans la nature, où tu veux…
- PRENDS UNE PHOTO une photo ou un selfie, avec ou sans ta perche, avec ta grand-mère, vue sur mer…
- JETTE ce déchet: journal, sac plastique, prospectus, paquet de clope, canette de bière…
- PUBLIE ta photo avec #1pieceofrubbish et/ou #1dechetparjour et nomine 5 amis pour le défi Facebook.
Et puis un autre passionné, Joseph Chauffrey, réussit à produire en pleine ville, dans son jardin de 150 m², près de 300 kg de fruits et légumes sur l’année.
Si si, c’est possible, suffit d’écouter ses conseils en permaculture et sa passion communicative 🙂
Ben voilà, il y a deux minutes, vous étiez en train de râler, maintenant, vous êtes en train de rêver !
Bien à vous,
Isabelle
