« La diversité indienne c’est ça »

06/03/2018 Bonjour à toutes et à tous,

La diversité indienne c'est ça - Crédit photo izart.fr

La diversité indienne c’est ça – Crédit photo izart.fr

Bon, allez, vous avez deviné, je suis retournée en Inde

Pondy, oui, bien sûr, mais pas que, attendez la suite 😉

Et même si la deuxième fois ce n’est jamais comme la première, je me gargarise à nouveau de tout ce qui m’émerveillait déjà deux ans plus tôt !

Des arbres en ville qui débordent des trottoirs, toute l’année chargés de grappes de fleurs multicolores, orangées, jaunes, carmin, blanches…

Des femmes qui déambulent au soleil parées de saris aux lumineuses soies coordonnées, variant du pourpre au vert, en passant par le rose ou le turquoise…

Mais c’est également un magasin d’articles pour Beaux Arts ouvert le lundi et fermé le mardi et le jeudi 🙂

Et un marchand de poulets fermé le lundi, lui par contre, mais ouvert tout le reste de la semaine de 16:00 à 19:00 🙂

Et une compagnie d’électricité constituée de presque autant de bureaux que de quartiers, le tout est de savoir dans lequel se rendre pour payer sa facture 🙂

Parce qu’au bout de deux fois que l’on vous a renvoyé à une mauvaise adresse, et compte tenu des jours d’ouverture propres à chacun, plus le personnel qui ne parle que tamoul, ça commence à faire beaucoup 🙁

A part ça, vous pouvez trouver à peu près tout ce qui mangeable et buvable, de jour comme de nuit dans les rues de la ville.

En plus des commerces fixes, abondent les marchands ambulants de fritures en tout genre, poulet, chapatis, pop corn, chaï, et autres producteurs locaux de noix de coco, mangues, papayes, citrons, pastèques, anones…

Ben voilà, la diversité indienne c’est ça !

Faut juste pas être troublé par l’abondance des bruits, odeurs, saveurs, couleurs, mouvements, humains, végétaux, animaux, véhicules… 🙂

Parce qu’ici, tout prend des proportions démesurées !

Et pour nous autres, habitué·e·s à porter du noir, du marron et du marine en hiver, c’est juste perturbant… ou réjouissant 😉

Bien à vous,

Isabelle