« Là où le vent m’emmènera »

Là où le vent m'emmènera - Crédit photo izart.fr

Là où le vent m’emmènera – Crédit photo izart.fr

19/02/2016 Bonjour à toutes et à tous,

Nomade tu étais, nomade tu redeviendras.

Des fois, j’me dis qu’avec une vingtaine de déménagements au compteur, je suis dans le vrai.

L’actualité veut que ce soit dans l’air du temps again.

Là où le vent m’emmènera… j’irai 🙂

Ah ben ça au moins je ne peux pas le nier, paraît que c’est dans ma base de données « astrologiques » !

Et voilà qu’à nouveau je donne beaucoup, vide passionnément, range à la folie , trie frénétiquement, vends pas tout, et jette… un peu.

C’est un signe, c’est bon signe.

Si je dis ça, c’est pour vous rassurer, vous ménager.

Et vous remercier.

Parce qu’à force, je vais avoir l’embarras du choix !

Entre poser ma caravane au fond de votre grand pré.

Ou stocker mes meubles dans cette autre vaste grange.

Ou bien encore courir sous la neige bavaroise,

A moins de fouler celle de la Petite suisse

J’entends aussi parler de roulotte sous les pommiers !

Quant à traverser les eaux, il y a peu…

Oh et puis même les océans, finalement ^^

Ah ben oui… désolée de vous causer toutes ces complications 🙁

Ah ben non… je ne sais quelle terre va me cueillir.

On verra bien où le vent m’emmènera !

Sommes-nous tout autre que nomades, vagabonds de la vie ?

Parcourant la planète, certains se déplacent aujourd’hui dans les airs comme sur les eaux, avides d’en découvrir au plus vite tous les joyaux.

Alors que d’autres la foulent différemment, et, fuyant l’aliénation, ils se mettent en quête d’un asile meilleur, loin des horreurs qu’ils ont connues.

Il y a environ 6 millions d’années, Orrorin marchait déjà quelque part en Afrique.

Je marche donc je suis.

Bien à vous,

Isabelle