« La situation est grave mais pas désespérée »

04/05/2017 Bonjour à toutes et à tous,

La situation est grave mais pas désespérée - Crédit photo izart.fr

La situation est grave mais pas désespérée – Crédit photo izart.fr

Ouf, une fois de plus, la situation est grave mais pas désespérée !

Je crois que je vais me la faire graver en épitaphe cette phrase…

Parce que même morte, on ne m’en enlèvera pas l’idée 🙂

J’en ai pour preuve la nature, encore et toujours, qui, du pourrissement de feuilles, brindilles et autres végétaux arrive à faire un merveilleux et nourrissant support de culture pour perpétuer le règne végétal.

Et ben dans le marasme électoral, c’est pareil !

Y’a des gens qui arrivent à produire de la matière grise dans le bouillonnement de conneries ambiantes 🙂

Alors si vous trouvez que l’herbe n’est plus assez verte ici, allons brouter ailleurs ensemble !

A l’instar des tribus de nomades que nous formions jadis, partons vers de nouveaux horizons 🙂

Impatiente de partager avec vous ce nouveau mode de scrutin appelé Jugement Majoritaire.

Il est à l’origine une expérimentation scientifique menée et soutenue par le CNRS, Dauphine Université Paris, Polytechnique Université Paris-Saclay, et La Primaire.org dont je vous ai déjà parlé.

Allez, soyez curieuses ou curieux, plus que de nature, et sortez soulagé-e-s de constater que certain-e-s planchent sur des solutions pour sortir d’une situation délicate avec brio !

Et puis dans l’actu plus proche de moi, j’ai eu enfin vu une éclaircie dans le ciel noir 🙂

Le jour-même où sonnait la date butoir du fameux commandement de payer qui avait fait se déplacer, non pas les foules, mais Monsieur l’huissier-au-coquard him-self…

Donc une fois de plus, la situation est grave mais pas désespérée !

Bon, je répète à qui veut l’entendre (?) que je m’épargnerai bien quand même quelques tracasseries

Pourquoi suis-je toujours obligée de me sortir de situations complètement… abracadabrantes 🙁

Peut-être que quelques rêves me donneront des clés ?

En attendant, s’il vous plaît, je laisse à M. celui qu’elle m’a raconté tout à l’heure, j’en ai encore froid dans le dos.

Avec le coup du furet qu’elle tenait fermement par la peau du dos et qui essayait de la mordre au bras en se contorsionnant…

Et même qu’une fois enfermé dans un sac et jeté dans la voiture, elle s’est rendu compte qu’il y en avait trois de ces bestioles, sorties d’on ne sait où, et qui risquaient de l’attaquer tandis qu’elle conduisait 🙁

En fait, c’est étrange comme le rêve de mon amie lui est soudain revenu…

Juste quand ma minette rouquine s’est glissée sans bruit dans la cuisine.

Pensez-bien à mon épitaphe…

Bien à vous,

Isabelle