« Le premier jour il était tout moisi »

30/01/2021 Bonjour à toutes et à tous,

Le premier jour il était tout moisi.

Le second jour il était plein de fourmis.

Le troisième jour j’ai bien dormi.

De qui s’agit-il à votre avis ?

Ben de mon frigo bien évidemment !

Ce sont les aléas de la vie, vous l’aurez bien compris.

Vous partez, vous revenez, entre-temps le frigo n’a pas été désinfecté au vinaigre blanc.

De plus il est resté fermé, bonne pioche.

Faut dire aussi que l’odeur qui régnait dans la pièce m’avait un peu alertée en entrant.

Je mettais ça sur le coup de la mousson en train de se terminer ?

Mais voulant ranger mes précieuces papillotes, chocolat et crème de marron au frigo ce fut la surprise totale.

Un décapage à fond s’imposait.

Suivi d’une totale aération, après rinçage soigneux au vinaigre blanc cela s’entend.

Je pus enfin ranger mes précieuse denrées à l’abri des fourmis.

Mais le lendemain, quelle ne fut pas ma surprise de constater que les satanées bestioles par l’odeur alléchées avaient envahi le frigo dans la nuit !

Oh, rien de bien grave puisque tout était en sachet zippé.

Elles étaient juste venues faire un tour de reconnaissance.

La nuit suivante, je me demandais si comme à mon habitude je coupais le frigo avant de me coucher pour en limiter la nuisance sonore.

Finalement, j’opterai pour cette solution, pariant que les fourmis ne l’envahiraient pas à nouveau.

Mon intuition eût raison de mes doutes.

Après le premier tour de reconnaissance en bonne et due forme, les fourmis avaient lâché l’affaire.

Malgré les bonnes odeurs, rien à se mettre sous la dent

Le matin, il ne me restait plus qu’à éponger l’eau du freezer, comme d’habitude, et à rebrancher le frigo.

Puis à attaquer la journée par un petit déjeuner des plus savoureux.

Me tartiner de la crème de marrons sur deux tranches de pain sans gluten Made in Germany, relief de mon repas Lufthansa, what else ?

Et surtout merci E. d’avoir tenté l’impossible la veille de mon départ pour dégoter ces fameux tubes si pratiques à glisser dans ma valise.

C’était juste impossible qu’ils aient supprimé ce conditionnement, souvenir de mon enfance, mais introuvable dans toutes les boutiques où j’étais entrée.

Par la même occasion, un grand merci aussi à B. qui connaît toutes les bonnes adresses de Lyon dont la bien-nommée Maison du marron !

Bien à vous,

Isabelle

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