« L’été, entre violence conjugale et burkini »

15/08/2016 Bonjour à toutes et à tous,

L'été, entre violence conjugale et burkini - Crédit photo izart.fr

L’été, entre violence conjugale et burkini – Crédit photo izart.fr

15 Août, fête de la Vierge Marie, comme le rappelait notre mère tous les ans.

L’été, entre violence conjugale et burkini, ça s’annonce plutôt compliqué en 2016.

Et processions annulées par ci, et interdictions du port de burkini par là…

Et rejet de libération conditionnelle pour Jacqueline Sauvage.

Ailleurs, la justice est beaucoup plus, hum… voyons… je cherche encore le terme.

En Belgique dernièrement, certain-e-s se sont donc franchement indigné-e-s.

Il en faut plus que ça, en France.

Ah ben oui, par principe, les français ont toujours tendance à critiquer ce qui se fait hors de leurs frontières.

Et à minimiser ce qui se pratique à l’intérieur des leurs.

Pas convaincu-e-s, lisez plutôt cela 😉

Bon, pour faire court, comme nous en discutions avec C., à chacun-e de savoir comment se gérer.

Première consigne : Commencer par s’occuper de ses oignons et surtout de ses… fesses.

Je sais, c’est pas très raffiné dit comme ça, mais de circonstance, surtout quand on se rappelle de la polémique autour du #MariagePourTous.

Et ben c’est la même chose pour le port du maillot de bain et autres attributs de plage.

Le jour où l’on vous interdira de le mettre ou de l’enlever, c’est selon, les commentaires de la gente masculine seront les bienvenus 🙂

Pour l’heure, s’il vous plaît, encouragez votre amis à se comporter au quotidien comme des êtres éduqués avec les femmes qu’ils croisent, merci pour elles.

Oui, je sais, c’était une petite blagounette.

Mais lâchée par tous les balourds qui se soulagent sur Facebook, je vous jure que la liste…

Ah ben si si, on les lit toutes, pourquoi, c’est pas fait pour ça ???

Tiens, ça me fait penser au mec que j’ai vu disparaître d’un seul coup, sur la place où j’attendais l’autre jour !

Pas lui que j’attendais, heureusement.

Je l’avais vu sortir du bar, juste en face, où il avait bien arrosé la fin de semaine avec ses potes en terrasse.

Ah ben quand il a repris sa voiture pour partir, j’ai soudain compris où il était passé.

L’odeur du mur, en plein mois d’Août, c’était pas l’humidité.

Bien à vous,

Isabelle