« Pas de cérémonie sans fleur »

12/01/2018 Bonjour à toutes et à tous,

Pas de cérémonie sans fleur - Crédit photo izart.fr

Pas de cérémonie sans fleur – Crédit photo izart.fr

Il n’y a pas de cérémonie sans fleur.

Comme il n’y a pas de fumée sans feu.

C’est sans doute par anticipation que dans mon rêve, le choix était dur à faire entre deux fleuristes

Toutes deux me proposaient leur marchandise, vantant à qui mieux mieux sa camelote 🙂

Mais à peine mon choix était établi, que déjà la sonnerie de mon téléphone se manifestait 🙁

Dans la réalité, j’avais donné mes consignes, à savoir trouver un marché à proximité, et m’étais inquiétée des préférences de couleurs, de variétés, de la future.

Mais à moins de 4 jours de l’événement, d’autres invité·e·s s’inquiétaient également du fait que le lieu de leur hébergement ne leur ait encore point été communiqué…

Moi, j’essayais de les rassurer en le disant que le futur gérait, ayez confiance, mais bon, j’espérais avoir raison !

Et puis, les futur·e·s, après tout, s’étaient engagés à s’occuper de tout, de A à Z, what else ?

N’avaient-ils pas aussi rappelé maintes fois aux témoins de ne pas oublier leurs cartes d’identité ?

Je ne pouvais m’empêcher, de mon côté, de prier pour que ma tenue de cérémonie ne soit pas oubliée sur le dossier du fauteuil

Bon, dans le pire des cas, je ne serai pas en sous-vêtements, mais une paire de baskets, eût-elle été de marque, sur les photos, ça ferait moyen 🙁

A ma grande surprise, la mère de la future effectuait tous ses achats de fleurs au même endroit que moi, et pour toutes les occasions.

Ou presque, à un détail près.

Elle c’était Lidl 🙂

Moi c’était Aldi 🙂

Aussi, après avoir rempli mon chariot de bouquets colorés, c’est dans la cuisine d’un joli pavillon que j’ai commencé à dépiauter mes bouquets.

Non sans avoir fait le tour du quartier, toutes deux, sac poubelle et sécateurs en main.

Il faut dire que l’abondante végétation s’échappant des clôtures fournissait un choix abondant de végétaux propres à la composition florale 🙂

En fait, c’est comme ça que j’aime les cuisines, où qu’elles se trouvent.

Quand elles vibrent au rythme des rires et des conversations joyeuses.

Que ce soit à préparer les plats et les épices, à même le sol indien.

Ou entre deux fournées express de madeleines salées, cannelés, cookies, et autres tartes au poireau, la table couverte de roses, gypsophile, œillets, lentisque et laurier tin 🙂

Bien à vous,

Isabelle