« Pitié pour nos fesses »

21/11/2020 Bonjour à toutes et à tous,

Je n’ai pas pour habitude de m’épencher sur mes problèmes intimes.

Mais pour le coup, l’autre jour chemin faisant en vélo avec une amie, je lâchais quand même quelques détails sur mon anatomie.

La selle est tellement dure que j’en ai chopé des escarres, lui dis-je, sont vraiment sans pitié pour nos fesses !

Car il se trouve que nous avons le même vélo.

Du coup elle me répondit du tac au tac moi aussi et en plus j’ai mal au dos !

Donc je ne pense pas que ce soit à cause de mes fesses trop peu rembourrées ou le fruit de mon imagination…

J’ai alors commencé à soumettre le problème à mes proches.

Il va te falloir changer de selle fut leur première réaction.

Moi qui pensais simplement recouvrir celle-ci d’une poche de silicone ou quelque chose du genre…

Tout un programme, car ensuite il me fallut prendre des photos pour juger de quel type de selle il s’agissait.

Mais finalement la conclusion fut qu’on ne peut pas la changer !

Tout ça pour finalement me conseiller d’acheter… une enveloppe de silicone ?

Bon, je ne connaissais pas avant toutes ces petites joies liées au cyclisme.

Remarques, rien de grave en soi, car ici tout est rapidement soigné grâce à l’aloe vera qui pousse abondamment.

Vous prélevez une feuille dans n’importe quel bosquet bordant votre chemin et l’emballez bien, sinon gare aux tâches !

Ensuite vous coupez une tranche de feuille d’un centimètre de large dont vous mangez le gel.

Il ne vous reste plus qu’à appliquer l’intérieur des feuilles sur vos plaies.

Testé avec une efficacité totale sur les démangeaisons, les piqûres d’insectes, les brûlures, les blessures superficielles et même les escarres !

Stockez ensuite bien verticalement votre feuille au frigo, la partie coupée en haut recouverte d’un film étanche, et utilisez sans attendre.

Quand je vois combien cette plante est efficace, on aurait tort de s’en priver !

Dommage que son prix soit si élevé en France.

Mais dans la moitié Sud du pays, l’aloe vera s’est très bien adapté, gageons que dans quelques années il se sera acclimaté de partout !

Bien à vous,

Isabelle