« Princesse tam.tam a coulé »

08/04/2021 Bonjour à toutes et à tous,

Quand elle nous a raconté comment elle avait perdu sa culotte au fond de l’eau, on a failli s’étrangler de rire entre deux bouchées…

Ben oui, Princesse tam.tam a coulé.

Mais pas au fond de la piscine.

Imaginez que vous vous baignez en bonne compagnie et de nuit dans un trou d’eau naturel.

Et que la meilleure idée qui vous traverse l’esprit soit d’enfiler votre lingerie à votre poignet.

C’est ça, façon bracelet, histoire ne pas la perdre.

Oh, désagréable surprise en sortant de l’eau, dans le noir… en mode j’ai perdu ma culotte !

Il y a de quoi osciller entre le rire et les larmes de rage.

Parce que non, Princesse tam.tam n’a aucune équivalence avec les sous-vêtements de chez Pothys, même brodés et agrémentés de dentelle.

Ça reste de la mode indienne de Pondy.

Voilà, en fait c’était pas tant pour la culotte que pour l’aspect financier… parce maintenant la parure est dépareillée.

Princesse Tam-tam, s’il vous plaît, chacune d’entre nous en connaît ou en a connu le prix.

Bon, on saura sous peu si la tentative pour la retrouver en plein jour a été fructueuse.

Ou s’il faudra attendre la prochaine récolte de riz pour éventuellement voir réapparaître la culotte dans les eaux d’irrigation…

En attendant, d’autres ont règlé le problème en adoptant le no bra, voire même le going commando.

C’est à dire adopter la tradition qui exige que sous les kilts les croupes troupes soient nues.

Voilà donc comment une pratique militaire ancestrale a donné son nom à un vaste mouvement revendiquant le non port de sous-vêtements.

De même je reste admirative devant ces jeunes femmes qui, par féminisme ou par confort, revendiquent ouvertement le droit de ne pas s’épiler.

Comment aurions-nous osé nous exhiber de la sorte, surtout face aux mecs de ma génération, féroces en commentaires sexistes.

Heureusement, de plus en plus d’hommes ont un comportement évolué, et bravo aux mères qui les ont bien éduqués !

Bien à vous,

Isabelle