« Retour à la nature »

08/06/2016 Bonjour à toutes et à tous,
Retour à la nature - Crédit photo izart.fr

Retour à la nature – Crédit photo izart.fr

Certains pensaient à tors que c’était une mode.

En fait, le retour à la nature est en marche, et plutôt au pas de course.

Le ras le bol est atteint pour bon nombre d’entre nous en matière de polluants, qu’il s’agisse de pesticides, d’insecticides, d’additifs, colorants, conservateurs…

ASSEZ, ON EN A ASSEZ !

Aussi l’autre jour, avec A. et C. entre la poire et le fromage, il était question de savoir si l’on choisirait, le jour venu, une inhumation ou une crémation.

Et l’idée du cercueil en carton, qui a le mérite de convenir aux deux formules, très vite dégradable, à base de matériaux recyclés et d’encres non polluantes a retenu toute notre attention 🙂

Il évite également de détruire un arbre.

Bon, moi j’aurai bien demandé à être enveloppée juste dans un drap

Mais le marché des PFG est tellement juteux qu’il est bardé de clauses et d’interdictions pour éviter d’échapper aux principaux vendeurs.

Parlons d’héritage après les funérailles 🙂

Votre grand-mère est détentrice d’un trésor.

Et vous allez même pouvoir le partager en ligne, avec les internautes du monde entier !

Sur le site GrandmasProjectvous avez jusqu’au 16 juillet pour mettre en scène votre grand-mère en train de réaliser sa recette de cuisine traditionnelle en 8 mn, tout est dit !

Dommage que le challenge ne soit ouvert qu’aux cinéastes ou aux étudiants en cinéma…

Ben voilà, retour à la nature des choses, à la nature des gens aussi.

D’ailleurs, en ce moment, il y a comme de la frénésie dans la nature, pluie, soleil, pluie, soleil…

Alors tout groove autour de moi, les plantes du jardin foisonnent et prennent des dimensions invraisemblables.

Partout les fleurs rivalisent en couleurs et en senteurs.

De même, M. le poète m’a dit que le jardin était devenu un champ d’abeilles…

Quant au pied d’artichaut, il s’est carrément emballé : les 2 mètres doivent être dépassés !

Promis, demain je le mesure.

Bien à vous,

Isabelle