« Se contenter de petites victoires »

06/05/2021 Bonjour à toutes et à tous,

A défaut de grands succès, il faut savoir se contenter de petites victoires.

Exactement ce que je me suis dit devant l’ATM où je me rendais pour le quatrième jour consécutif…

Dans l’espoir de lui arracher quelques roupies.

Mais non, une fois de plus je rentrais bredouille.

Qu’à cela ne tienne, c’est bien mal me connaître, je n’allais pas m’avouer vaincue !

CB en main, je me suis donc rendu tout bonnement… au Financial Service.

Pour approvisionner mon compte tout en m’acquittant des taxes réglementaires auxquelles je pensais échapper grâce à ma super carte sans frais…

C’est dit, c’est fait, point barre, next !

Et puis j’ai envoyé un mail au service dédié pour lui signifier que mon dossier etait prêt à lui être remis.

Lequel service avait collé une affiche sur sa porte pour annoncer sa fermeture pour cause de COVID.

Ce que me confirma la réponse automatique envoyée par retour de mail

Un second mail m’informant que mon dossier serait traité dès la réouverture du service ne manqua pas cependant de m’étonner.

En effet, tous les autres services fonctionnaient soit à effectif réduit, soit en télétravail ou sur rendez-vous, mais aucun n’avait suspendu son activité…

Néanmoins, je me félicitais de pouvoir bénéficier en pareil circonstances et dès à présent des services de la coopérative.

Il me revint en tête qu’un an plus tôt, lors du premier lockdown, je n’en menais pas large, privée de restauration et avec les restrictions qui s’imposaient.

Donc… tout aurait pu être pire.

Et même que j’avais enfin mis en ligne ma dernière vidéo dont j’étais laborieusement venue à bout.

Yes, si c’est pas une petite victoire ça, dans les conditions où j’ai bossé pour la monter !

Un grand merci à toi et à E., c’était du travail, on appelle ça le karma yoga ici (…) m’envoya en substance mon collaborateur, le soir-même.

Soudain, j’eus comme le sentiment que ce ce yoga-là, je le pratiquais depuis des lustres sans même en connaître l’existence !

Bien à vous,

Isabelle