18/07/2020 Bonjour à toutes et à tous,

Tirer un trait sur le passé et ne jamais y remettre les pieds.

Le message ne peut-être plus clair…

Ne pas laisser les cellules se gaver du passé.

Leur laisser tout l’espace pour le moment présent, la joie, l’amour, tel est le message.

J’étais chenille, je deviens chrysalide.

La transformation est dans la matière.

Puisque l’homme est appelé à marcher avec ses jambes, à bouger son corps par nature.

Ce n’est pas dans le mental, dans le contemplatif qu’il évoluera.

C’est dans l’action, dans toutes les cellules de la matière que se pratique le yoga de Sri Aurobindo et de Mère.

Même en se brossant les dents, disait-elle encore avec humour, mais avec tant de lucidité.

L’évolution de l’homme ressemble tant à cette métaphore du papillon que je ne cesse de m’en émerveiller.

Comme celle de la chenille, puis de la chrysalide et enfin du papillon, la matière est appelée à se transformer pour évoluer.

Les cellules restent les mêmes, intactes à travers ces changements.

Elles vibrent à l’unisson avec toutes celles qui forment la matière dans l’univers.

Je ne voudrais paraphraser ni Satprem, ni Mère ni bien sûr Sri Aurobindo.

Mais j’aimerais surtout partager avec vous cette formidable chance qui m’a été donnée de les rencontrer.

Le yoga de la matière et la connexion des cellules m’ont ouvert un autre possible.

J’ai ainsi, comme je vous le disais, repoussé par deux fois des attaques de migraine.

Simplement en connexion avec mes cellules que j’ai libérées de réflexes archaïques.

Pour l’instant, j’interviens auprès d’elles et elles répondent positivement à la modification de l’information.

Ensuite, selon les propos de Mère, elles agiront d’elles-mêmes, sans mon intervention, face à pareille situation.

Jusqu’au moment où elles se seront complètement déprogrammées, se libérant ainsi de réflexes réitérés depuis des millénaires.

Lâche le mental et il te lâchera.

La vie c’est un aller simple, personne ne revient jamais sur ses pas.

On évolue… ou pas, vers autre chose à la suite de ce passage.

Ah oui, j’ai oublié de vous dire, les résistances sont ÉNORMES.

Mais pas insurmontables ?

Bien à vous,

Isabelle