« Vaccins pourquoi on nous met la dose »

20/06/2017 Bonjour à toutes et à tous,

Vaccins pourquoi on nous met la dose - Crédit photo izart.fr

Vaccins pourquoi on nous met la dose – Crédit photo izart.fr

Vaccins pourquoi on nous met la dose, avec 11 vaccinations obligatoires envisagées par la ministre de la santé nouvellement nommée, Agnès Buzyn ?

Outres les 3 vaccins contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite obligatoires, voilà les 8 autres qui sont envisagés comme tels : coqueluche, rougeole, oreillons, rubéole, hépatite B, bactérie Haemophilus influenzae, pneumocoque, méningocoque C.

Pour endiguer, selon les propos de la ministre, les décès liés à la rougeole, avec, depuis 2008, 10 décès consécutifs à la maladie enregistrés en France.

Mais après quelques recherches sur le Net, j’apprends que la première cause de la mortalité infantile n’est pas causée par cette maladie…

En effet, la prématurité est la première cause de la mortalité infantile française.

Et la deuxième dans le monde.

Alors difficile de ne pas conclure que la ministre qui a passé 14 ans de sa vie à travailler pour les laboratoires pharmaceutiques n’a pas d’intérêts à vouloir imposer sa pléiade de vaccins !

Qui pour s’indigner contre la carence de médecins spécialistes que l’on retrouve tout au long de la vie d’une femme, comme les gynécologues et les obstétriciens ?

Parce que si la cause de mortalité infantile en France est avant tout liée à la prématurité des bébés, c’est en partie du aux naissances multiples suite à des traitements hormonaux, à l’âge des parents qui est de plus en plus élevé pour une première grossesse…

Et qu’en matière de mortalité néonatale, on a plutôt régressé statistiquement, en France, avec 2,3 morts pour 1000 naissances.

Alors que paradoxalement, les françaises sont dans les femmes les plus fécondes de l’UE !

Dégradations des soins de santé, ça fait plutôt froid dans le dos, surtout quand on entend les mesures envisagées pour réformer la Sécurité Sociale !

Bon, ben je vous souhaite une bonne santé, la santé, hein, surtout 🙁

Bien à vous,

Isabelle