Cauchemars de l’homme civilisé
Tu cours après le temps
Tu fuis la vie
Tu chasses le bonheur des iles
Mais tu es l’homme,
Malgré toi.
Plongé dans les marais de la ville,
Tu t’enfonces dans le béton
Et tu échoues
Sur les rives noires de l’agonie.
Tu te réveilles enfin,
Au soir,
Evoluant dans l’incertain
Prêt à seconder la solitude.
Mais tu es l’homme,
Souviens-toi !
21/06/1979
Recueil « En ce troisième jour vint…L’EKSEPCION »