« Enough dans ma caboche »

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04/02/2022 Bonjour à toutes et à tous,

Enough dans ma caboche

Pourquoi j’ai dit ça ce soir ?

Ben parce que c’est ma triste réalité du moment.

Entre les visites de maisons qui se suivent mais ne ressemblent pas tout en se ressemblant parce que rien n’aboutit, c’est coton.

Entre le jardin qui demande plus de soins mais surtout plus d’arrosage liés à une hausse soudaine des températures, et les paniers improvisés de l’AMAP, c’est coton bis.

Entre les week-ends chargés de manifestations et les semaines qui débordent d’activités professionnelles mais pas que, c’est coton ter.

J’arrive plus à jongler entre les bananes à aller récupérer chez Untel et les plantes sauvages comestibles dont Unetelle fait son fond de commerce.

Mais pour cette dernière activité, c’est dit, maintenant que j’ai montré à J. en quoi consistaient ces sympathiques et intéressantes sorties, that’s finish.

Plus le budget pour assouvir ma passion, alors on va bosser en solitaire, ma fille, et faire un plus gros effort de mémorisation, que je me suis dit.

Bon ça va, hein, en une saison de sorties hebdomadaires, même d’une heure, j’ai commencé à bien cerner le truc !

Et je n’en suis plus à me plaindre comme certains, qu’ils appellent tous ça d’un même mot, keerai.

Maintenant, j’arrive au moins à établir une différence entre une grande variété de plantes sauvages comestibles et tropicales, toutes consommées comme épinards, wanted !

Reste que la pratique étant un excellent exercice de mémorisation, va me falloir recomposer avec tout ça.

J’y pense et puis j’oublie…

De rien et désolée pour le dérangement, aucun tsunami à l’horizon.

Bien à vous,

Isabelle

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