« Et vive les cheffes d’entreprises »

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19/11/2022 Bonjour à toutes et à tous,

Et vive les cheffes d’entreprises ! que j’ai soudain envie d’écrire, peu après après ton départ.

Curieusement, tu portes le même prénom qu’une nièce, née dix ans plus tôt et… jamais rencontrée.

Si l’on ne choisit pas sa famille, heureusement qu’on peut choisir ses ami·e·s.

C’est en voyageant en Inde avec l’un de mes proches que j’ai rencontré cette sympathique jeune femme, quelques années plus tôt.

En effet, elle nous avait reçu chez elle peu avant que nous poursuivions notre trip vers le Sud.

D’emblée j’avais aimé la simplicité du partage et la chaleur de son accueil.

Sans manifester une quelconque contrariété alors que nous débarquions et d’un long vol et chargés de bagages, elle s’était appliquée à nous recevoir du mieux possible

Notre bref séjour fut ponctué de passionnantes discussions notamment autour de la condition féminine ici et ailleurs.

Ce sont ces mêmes discussions que nous reprîmes, souvent jusque tard dans la nuit, lorsqu’elle arriva à Auroville.

Sa venue s’est décidée au dernier moment, et l’improvisation a du bon quand on suit son intuition.

J’aime à croire que tant de choses nous échappent et qu’il nous faut les recevoir avec gratitude lorsqu’elles croisent notre chemin.

Tellement reconnaissante que toutes ces belles énergies, ces belles rencontres souvent ponctuées d’improvisation, aient ponctué notre programme.

De mon côté, j’ai pu lui partager mon expérience à Auroville alors que quelques années plus tôt j’arrivais avec juste un visa touristique !

C’était juste avant que le COVID ne perturbe l’ordre des choses, en ce qui me concerne…

Une belle concrétisation de ses projets a aussi couronné son travail depuis ces années.

Et lorsque je la voyais soudain sortir de table puis sillonner le jardin, le téléphone en main pour une conversation professionnelle, je ne pouvais m’empêcher de sourire.

Yes ! We can do it ???

Merci merveilleuse amie de me l’avoir rappelé à chaque jour de ta bienveillante compagnie.

Bien à vous,

Isabelle

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