« Je maîtrise mais ça me soule »
27/10/2022 Bonjour à toutes et à tous,
Je maîtrise mais ça me soule.
Ça me soule de lire les exigences des personnes qui mettent leurs logements à disposition d’autres en leur absence.
Ça me soule de lire que ma maison est petite et j’aime la garder propre et garder les choses en ordre.
C’est bien connu que non seulement ça me plaît, mais aussi ça m’amuse de vivre en mode porcherie.
Et puis, disposer du logement un mois, voire éventuellement un ou deux de plus, sans certitude, tout en sachant que dès le retour du stewart faut dégager le plancher…
Ben non merci, je préfère rester là où je suis !
Ah oui, j’ai répondu que j’étais vraiment désolée que cette personne ait visiblement eu des déconvenues avec d’autres locataires.
Genre pour m’écrire des trucs pareils, faut vraiment avoir vécu une mauvaise expérience.
Tout en demandant les conditions et les services proposés, j’ai glissé que jusqu’à présent je n’avais laissé qu’une bonne impression de mon passage.
Depuis silence radio.
Une récente visite m’a permis de découvrir un autre logement qui pourrait correspondre à ma recherche.
Si ce n’était que d’emblée la personne m’a affirmé au téléphone, après m’avoir demandé le montant du loyer précédent, que je ne pourrais pas m’offrir le sien !
J’ai halluciné en entendant une pareille affirmation… on se connait ?
Bref, je ne me suis pas démontée, et quand elle m’a donné une fourchette de tarif – le double de ce que je payais – je lui ai demandé un peu plus de détails sur les services fournis.
A part la wifi, rien de plus que ce dont je disposais déjà, mais bon, ça ne double pas un loyer quand même…
Et lors de la visite j’ai eu la surprise de découvrir là aussi que c’était non pas une fuite, mais bien cinq qui couraient au plafond.
Facile, j’avais qu’à compter les seaux dessous, au sol…
Aussitôt après la visite, j’ai envoyé mon retour, et la personne m’a rappelée illico en me donnant les directives à suivre pour aller signer le contrat.
Sauf que le loyer avait atteint la fourchette haute entre temps…
Je sais bien que c’est la pénurie de logements mais faudrait pas abuser quand même, de plus sans aucun équipement ni casserole dans la cuisine…
Avec une table et deux chaises en plastique plus une commode comme mobilier, heureusement qu’une des chambres disposait d’un lit.
J’ai bien compris que l’amie dont j’avais la recommandation a pesé dans la balance en faveur de ma candidature.
Puisque j’étais invitée à signer le contrat alors même que la deuxième visite n’avait pas encore eu lieu.
Bon, l’histoire ne s’arrête pas là, à suivre…
Bien à vous,
Isabelle
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