« La fin des centres commerciaux ? »

12/08/2021 Bonjour à toutes et à tous,

Va t-on (enfin) vers la fin des centres commerciaux ?

Quand j’ai lu que certaines personnes, et sans doute plus qu’on ne veut nous le laisser croire, sont prêtes à y renoncer, j’ai jubilé !

Enfin celles qui n’avaient pas compris par la raison, c’est la force qui va les y amener…

Il a suffi d’un petit virus de rien du tout pour mettre la France entière à genou et qu’enfin les gens commencent à réfléchir.

Tout le monde a subi le confinement, le couvre-feu, les laisser-passer, les privations de circuler, de se cultiver, de se divertir, de se restaurer…

Mais là, il semble que la coupe soit pleine, avec une obligation vaccinale à peine dissimulée qui divise la population entre les bons et les mauvais.

Et te permet de pouvoir circuler librement dans les gares avec un bracelet bleu au poignet.

Je rêve où ça ravive un bien peu glorieux passé quand une étoile jaune stigmatisait une partie de la population française ?

En attendant, un de mes correspondants en France m’envoie cette photo non équivoque prise dans une grande surface.

Du liquide désodorisant textile et désinfectant ; je ne savais même pas que ça existait, qui ELIMINE LE CORONAVIRUS !

Rien que ça c’est un signe de déclin

Bon, il ne reste plus qu’à attendre la fin des centres commerciaux, puis des grandes surfaces pour que l’épicier du coin retrouve sa clientèle.

Et que le cinéma de quartier, menacé de fermeture, s’emplisse tous les vendredis soirs.

Que la place du village grouille à nouveau de personnes venues prendre la fraîche à l’ombre des tilleuls.

Que la terrasse du restaurant local s’anime tous les dimanches midi de repas en famille.

Imaginez ce qui se passera lorsque les trains, les avions, les bus se videront et s’arrêteront ?

Lorsque le personnel salarié cessera le travail faute de détenir le precieux sésame ?

En attendant, des proches me signalent qu’il n’y a eu aucun contrôle au faciès QRCode sur le Corsica Ferry.

Pas plus que sur un Paris Lyon ou un Valence Rennes, côté rails, circulez, on respire…

Bien à vous,

Isabelle