« Observer sans être vu-e »

08/05/2016 Bonjour à toutes et à tous,

Observer sans être vu-e - Crédit photo izart.fr

Observer sans être vu-e – Crédit photo izart.fr

Observer sans être vu-e, grâce à un instrument d’optique, un objet distant de celui-ci.

En 8 lettres, PÉRISCOPE.

La TV après la TV.

Le direct sans parasitage, comprenez pub, présentat-rices-eurs lourdingues, mises en scènes fastueuses…

J’assistais donc en direct de #NuitDeboutParis, cet après-midi, aux actions engagées contre TAFTA.

Nous avons entamé la conversation entre connecté-e-s et petit à petit, partagé des idées toutes simples pour éviter de tomber dans les pièges de la consommation tendus par le marché transatlantique, et les dénoncer.

Par exemple que ce marché mettra encore plus d’avions en circulation, super perspective pour aller dans le sens de la COP21…

Ou prendre conscience que réduire sa consommation de viande, ça permet de limiter l’élevage intensif – dévoreur de protéines végétales – et son importation, ainsi que de protéger sa santé à long terme.

Et puis, l’air de rien, on a partagé, toujours en ligne, nos expériences de non-viandard-e-s, avec leurs alternatives.

Protéines végétales par ci, légumineuses par là, le tout est échangé dans la bonne humeur, et avec politesse.

Après, certain-e-s parlent, toujours en fond d’écran, de la spiruline, l’algue miracle qui pourrait nourrir toutes la planète.

Et moi, je rajoute à la liste les plantes sauvages comestibles qui sont vraiment très abondantes en ce moment.

Petit tag de quelqu’un qui voudrait apprendre à les découvrir.

Pas de problème, suis dans la région de Lyon.

Un stage à l’automne en vue dans la région pour la personne désireuse d’identifier les sauvages comestibles, tout s’enchaîne.

En attendant, je lui suggère de tester les recettes partagées dans la Petite chronique, et de fixer un rendez-vous découverte sur le terrain par la suite 🙂

Pas plus compliqué que ça de communiquer !

Bien à vous,

Isabelle