Pas contente Pas contente Pas contente…

01/03/2018 Bonjour à toutes et à tous,

Pas contente Pas contente Pas contente - Crédit photo izart.fr

Pas contente Pas contente Pas contente – Crédit photo izart.fr

Comme je m’en doutais, la répartition du poids dans les 4 valises s’est faite à l’arrache… juste avant leur contrôle.

J’ai donc retiré les livres et les chaussures de la valise cabine pour les glisser dans une qui allait voyager en soutes.

Le calcul devait être bon pour équilibrer le poids dans les deux.

Au contrôle français de l’aéroport de Lyon St Exupéry, où j’ai déballé tous mes petits flacons méticuleusement remplis, l’ordi… après avoir déposé veste et foulard sur le tapis roulant, cela a été rapide.

Mais bien plus tatillon qu’à celui de Paris Charles de Gaulle, où je n’ai jamais vu demander à des gens d’enlever leurs chaussures…

Mais une fois arrivée à l’aéroport de Frankfurt, pardon, les douaniers allemands m’ont déjà fait remarquer que j’avais trop de flacons de liquides 🙁

Ben oui, mais je ne dépassais aucunement les 100 ml par flacon Mr le douanier

Donc, après m’être à nouveau dépouillée de mes effets, je suis passée les mains en l’air dans le sas de sécurité avant la fouille au corps qui m’attendait à la sortie.

Bon, j’ai eu plus de chance que le monsieur d’à côté, isolé dans une cabine, qui a eu droit à une fouille plus dévêtue 🙁

Le temps que J. rembobine tous ses câbles et accessoires informatiques, source aussi de bien des questionnements, j’ai attendu qu’arrive enfin ma trousse de toilette.

Alors là je vous préviens, c’est pas la peine de faire la bête ou la malheureuse, en allemand ou en anglais à la douane de Frankfurt…

J’avais trop de petits flacons au goût du monsieur.

Adieu tous mes échantillons à offrir, lotion anti-moustique, gel douche ayurvédique 🙁

Pas contente Pas contente Pas contente

Oui je sais, j’ai été très très bête de ne pas avoir pensé à glisser ma trousse de toilette en soute à la place des chaussures et des livres.

On va mettre ça sur le compte de la fatigue et des préparatifs…

Mais ça a été le seul point noir de nos quinze heures de transit, avec deux heures de sommeil seulement la veille du départ pour ma part, et zéro pour J. qui allait se rattraper dans l’avion.

Et aucune non plus pour notre chauffeur qui lui, avait peur de ne pas se réveiller à 1:00 du mat pour nous emmener à l’aéroport…

Bref, la prochaine fois, c’est promis, tout ce beau monde en soutes, et on n’en parle plus !

Bien à vous,

Isabelle