« La retraite sentimentale de Colette »

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08/11/2021 Bonjour à toutes et à tous,

Je n’ai jamais lu La retraite sentimentale de Colette.

Mais le titre m’a plu d’emblée… oui c’est ça, rien que le titre.

Vous savez, c’est comme les étiquettes pour choisir une bouteille de vin.

J’ai toujours procédé de la sorte, en France, et ça a toujours très bien fonctionné.

Une petite anecdote que j’ai lu à ce propos m’a d’ailleurs bien faite rire, l’autre jour.

A des messieurs qui se moquaient de femmes adoptant le même critère que moi pour choisir un vin, elles eurent une réponse imparable.

Désolées, nous sommes graphistes… et toc !

Bien évidemment, qui prend soin de son vin prendra pareillement soin du flacon et de l’étiquette, ou non d’ailleurs.

Parce que c’est quand même son image, sa personnalité qu’on projette à travers cela.

Donc, pour en revenir à Colette, dont je garde un excellent souvenir des lectures que j’ai faites de ses autres œuvres, elle m’a accompagnée tout l’après-midi.

Imaginez que depuis deux nuits, ou même trois, je n’arrive pas à fermer l’oeil, lune oblige, vous connaissez le refrain à présent.

Mais si je ne dors pas, au niveau de mes neurones l’activité est intense, je suis en plein process de création

Donc après l’exitante phase de cogitation, place à la non moins exitante phase de réalisation.

J’étais donc assise ce jour-là à ma table de travail, seule au studio d’UpCycling, écoutant un podcast de l’INA daté de 1950, Entretien avec Colette.

Et voilà que André Parinaud, animateur de l’émission radiophonique, évoque un titre… La retraite sentimentale.

Mais tellement bien dit !

Une expression qui, à elle seule, offre un nouveau paysage.

Et peu importe le contenu du livre, n’en garder que le titre pour annoncer un jour, avec délectation, je vis une retraite sentimentale épanouie.

Ça laisse place à autre chose que la retraite professionnelle dans la vie, quand même, et c’est tant mieux !

Bien à vous,

Isabelle

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Bien à vous,

Isabelle