« #OccupeToiDeTesFesses »

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22/02/2023 Bonjour à toutes et à tous,

Mon nouvel hashtag #OccupeToiDeTesFesses fait des heureuses sur Instagram.

Ben oui, c’est sorti comme ça, à la lecture de la nième dénonciation du gros balourd de service qui se permet de commenter le physique ou les habits d’une femme.

Cette fois-ci c’est Alain Jakubowicz, pourtant avocat de son métier, qui s’affiche sans honte et avec sexisme sur les réseaux sociaux.

Mais ce n’est qu’un pavé de plus dans la mare où brassent déjà de sombres connards, ayant porté atteinte de prêt ou de loin aux femmes et aux enfants.

J’en veux pour preuve le pire palmarès du sinistre Palmade, qui cumule depuis, en plus de l’accident qu’il a commis, la détention d’images pédopornographiques…

Andrea Bescond, quant à elle, a décidé de dénoncer sans relâche, sur les réseaux sociaux, la liste noire de tous les criminels sexuels impunis ou insuffisamment condamnés.

Ce qui lui a vallu d’être attaquée immédiatement en diffamation, convoquée le 16 Mars.

Autant dire que la réponse du mis en cause, pour intimider et faire taire Andréa Bescond n’a pas traîné, et surtout IL A ÉTÉ PRIS AU SÉRIEUX PAR LA JUSTICE !

Pendant ce temps-là, comme elle le rappelle, les violeurs en France courent toujours et ont la vie belle, puisque 75 % de plaintes pour agressions et viols sont classées sans suite…

Oui, on protège bien les violeurs et agresseurs sexuels au pays des « droits de l’homme ».

Allez, on redonne encore quelques chiffres, histoire de ne pas oublier qu’ici, en France, une tentative de viol d’un homme envers une femme est commise toutes les 7 minutes.

18 viols d’enfants, chaque heure, toujours en France, ça ne vous fait pas froid dans le dos ?

Dernier chiffre, pour être convaincantes, nous toutes qui dénonçons ces violences envers les femmes et les enfants : la France, 4e hébergeur d’images pédopornographiques au monde.

Mais pendant ce temps-là, on se mobilise à l’Assemblée Nationale pour voter contre le repas des universitaires à 1€ ou réhabiliter le costard dans ses rangs…

Bien à vous,

Isabelle