« Panique chez les véhicules à deux roues »

Vous avez aimé :

30/05/2022 Bonjour à toutes et à tous,

Panique chez les véhicules à deux roues, ça devait être écrit quelque part, à cause du changement de lune peut-être…

Ma première arriva la semaine dernière…

Gagné, encore crevé de la roue avant, ouais !

Ça faisait longtemps que je ne vous l’avais pas faite celle-là hein ?

Je me demande parfois si je ne bats certains records en la matière.

Après avoir fait gonfler mon pneu sur place un max, je me pointais au garage dès l’ouverture, d’où par chance je repartis une trentaine de minutes plus tard.

Ma seconde arriva une semaine plus tard comme vous l’aviez deviné, lorsque je découvris mon pneu à plat, au petit matin, en prenant mon vélo.

Mais cette fois, roue arrière, pas de jalouses !

Comme je commençais à être passablement contrariée par ces crevaisons à répétition, sous le coup de la colère, je décidais de ne pas bouger.

Et d’appeler le garage pour qu’il se déplace, cette fois ce serait à lui.

Bon, le petit gars annoncé pour intervenir à 14:00 se pointa à 15:00, mais la chambre à air semblait avoir repris vie et je pus enfourcher mon vélo le soir même.

Sauf que… le lendemain matin, j’étais au bord de la crise de nerf en voyant mon pneu arrière de nouveau à plat !

Pour me rendre au jardin je passais devant le garage juste à l’heure d’ouverture, donc aucune hésitation.

Pour la première fois de ma vie, c’est sur un vélo avec une roue à plat que je pris le chemin.

Puis le récupérais une fois réparé, en rentrant du jardin, simple question d’organisation

Par contre oui, il grinçait à nouveau au niveau de la roue avant.

Cela semblait quelque peu contrarier les mécaniciens qui cependant me le tendirent sans hésitation.

Je conclus en riant que tout le monde était prévenu de mon arrivée où que je me rende.

Et que ça leur faisait juste de la mauvaise pub, ce qui les fit rire aussi.

Bref, tout le monde riait, c’était bien chouette.

Ça, c’était pour le vélo, demain je vous raconte pour la moto, parce que c’est pas fini !

Bien à vous,

Isabelle

[dp_product id=1 domain=0 ]