« Pourquoi tant de haine »

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06/04/2024 Bonjour à toutes et à tous,

Pourquoi tant de haine - Crédit photo izart.fr
Pourquoi tant de haine – Crédit photo izart.fr

Pourquoi tant de haine… que je lui ai demandé par message interposé, alors qu’il m’annonçait que ma tablette était toute démontée. 

Vous n’êtes sans doute pas au courant, mais vous l’avez peut-être remarqué, ma tablette tactile est indisponible depuis quelques jours.

D’où le retard que je cumule dans l’édition de la Petite chronique, vous m’en voyez navrée, je vais essayer de rattraper cela au plus vite.

Le bon plan avait donc été de trouver un réparateur qui puisse remettre en état ma tablette. 

Encore une chose que vous ignoriez sans doute, c’est que les tablettes Samsung Galaxy Tab S5e ont apparemment toutes la même maladie. 

D’un coup, de préférence lorsqu’on s’y attend le moins, la vitre de l’écran se décolle.

Cela m’est arrivé par deux fois alors que je la manipulais pour m’en servir.

Dans mon malheur j’ai eu de la chance, parce qu’elle était posée sur ma table. 

J’ai ainsi appris que d’autres personnes avaient eu moins de chance que moi, parce que la vitre est tombée dans le vide et a arraché tous les câbles avec. 

Donc, elle s’est brisée, et il a fallu réparer toutes les connexions électroniques à l’intérieur de la tablette.

Le mal est donc moindre en ce qui concerne mon appareil, sauf qu’il y a un deuxième problème à régler, à savoir que le bouton ON/OFF ne fonctionne plus depuis pas mal de temps.

Alors là c’est plus compliqué, parce que si j’éteins ma tablette, impossible de la rallumer…

Le truc c’est de la passer en mode avion une fois que j’ai fini de m’en servir.

Technique pas vraiment pratique mais imparable pour éviter le pire.

Le réparateur m’a proposé deux options, la première avec un bouton qui fonctionne mais sans fingerprint, la seconde avec un bouton qui fonctionne plus option fingerprint.

La seconde solution est forcément plus onéreuse car on répare avec des pièces d’origine Samsung.

J’ai quand même eu la chance, je le reconnais, de récupérer ma tablette en état de fonctionnement avant que mon livreur ne s’engouffre dans un bus de nuit.

Voilà, lui il va aller faire son tour et moi, pendant ce temps et avant que la pièce n’arrive, je vais reprendre le fil de ma Petite chronique, en m’adaptant à la contrainte.

A savoir que l’écran qui n’a pas été définitivement recollé tient plaqué au dos de la tablette grâce à deux caoutchoucs.

J’apprends donc à écrire sur mon écran tactile entre les deux, sacrée gymnastique pas vraiment ergonomique, mais bon voilà, on s’adapte !

En attendant des jours meilleurs, je continue donc à émettre pour ne pas cumuler plus de retard, c’est pas gagné, merci pour votre patience.

Bien à vous,

Isabelle