« Sois cool et tais-toi »

21/03/2017 Bonjour à toutes et à tous,

Sois cool et tais-toi - Crédit photo izart.fr

Sois cool et tais-toi – Crédit photo izart.fr

J’ai fait une sacrée découverte cet après-midi là…

Après avoir compris pourquoi il ne servait plus à rien de m’énerver.

Enfin… contre une certaine catégorie de personnes.

Au début, je mettais ça sur le compte du printemps 😉

Ben oui, vous savez, les gens qui vous parlent des fleurs, des petits oiseaux, de leurs vacances futures, de leurs dernières acquisitions 😉

Et puis au milieu de tout ça, des choses qui n’avancent pas.

C’est ce qui a fini par me mettre la puce à l’oreille

Comment se faisait-il que, face à une situation de stress, je réponde par un effort de vitalité, un sursaut face à l’agression pour m’en dégager, une concentration de mes moyens et de mes énergies ?

Alors que d’autres semblaient survoler les embûches et les soucis avec, constater avec fatalité plutôt qu’organiser leur survie ou sauver leur peau, ne jamais envisager de sortir du tunnel ou de l’impasse ?

Sois cool et tais-toi…

Alors, quand j’ai fait part à quelques proches de ce constat, nous avons étrangement toutes et tous fait le même recoupement.

Plutôt effrayant.

En effet, les personnes de nos entourages qui consommaient des psychotropes, adoptaient sensiblement toutes les mêmes comportements.

La prise de ces médicaments ne mettait plus de rationnel dans leur vie.

Elles et ils continuaient à agir sans plus aucune prise avec la réalité.

Adoptaient des comportements inappropriés face à des situations graves, ou pire, n’avaient plus aucune réaction.

Force était de constater que l’effet visé de ces médicaments semblait atteint, plus de stress, plus d’angoisse, plus de ressassement, plus de réaction…

Mais nier la réalité, est-ce vraiment la meilleure solution à apporter à un problème ?

Et quid des générations d’enfants conçus par des parents qui absorbent des psychotropes ?

On n’a peut-être pas assez de recul ni fait assez de recherches au sujet de la transmission de ces substances in utero pour tirer la sonnette d’alarme…

Bien à vous,

Isabelle