« Système D à l’indienne »

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21/01/2020 Bonjour à toutes et à tous,

J’ai constaté maintes fois combien le système D à l’indienne fonctionnait bien.

Mais j’étais fumasse ce samedi après-midi, lorsque je me suis pointée à l’entreprise de location de vélos.

En effet, sur leur conseil, ayant prévenu que je m’absentais deux semaines, je leur avais remis mon comme convenu .

Pour le mettre en sécurité, dixit l’employé à qui j’avais posé la question, et éviter qu’il soit endommagé en votre absence.

Surprise ce jour-là donc, car mon vélo n’était pas disponible !

Je devinais alors qu’il avait été sous-loué durant mon absence 🙁

Et le responsable, qui n’était pourtant pas dentiste, osa même glisser que je n’avais pas précisé le jour de mon retour 🙁

Heu, ma logique n’est résolument pas indienne…

Quand tu déposes ton vélo un samedi et que tu te repointes deux semaines plus tard à nouveau un samedi, ça fait pas quinze jours ???

Mais qu’à cela ne tienne, mon vélo de location rentrerait le lendemain, et en attendant il m’en procurerait un autre.

Bon, j’étais contrariée au plus haut point, mais à ce moment-là je ne savais pas que ça allait être bien pire le lendemain.

Le dimanche matin donc, enfourchant nos vélos, J. nous proposa à B. et moi, d’aller faire des courses au village en passant par la forêt.

Je le sentais tellement mal ce coup-là, mais bon… ok, je suivis sans trop l’ouvrir.

10 minutes plus tard, nous avions fait demi-tour car le chemin déjà très étroit et mal dégagé s’était refermé sur la forêt.

Qu’à cela ne tienne, il y avait tant d’autres pistes à explorer dans la forêt aurovillienne !

Après avoir fait nombre de contours et de tours de cons comme on dit par chez moi, quelque chose pourtant me parut bizarre.

J’entendais toujours très distinctement la musique que le temple proche de notre logement diffusait à tue-tête…

Effectivement après une bonne demi-heure dans a forêt à travers trous, bosses, branches, haies, sable et cailloux, nous arrivâmes… au point de départ 🙁

Nous en étions quitte à reprendre le chemin habituel pour aller jusqu’au village, double peine en temps et en trajet.

Sauf que je ne pouvais même plus me poser sur la selle de mon vélo, celle-ci ayant fortement commotionné une partie précise de mon intimité…

Mais une fois de plus, personne ne prit mes plaintes au sérieux 🙁

Le dimanche, comme convenu, je me pointais donc à l’entreprise de location pour récupérer MON vélo.

La suite au prochain épisode…

Bien à vous,

Isabelle