Petite chronique « Urbex à Madère…

« Urbex à Madère »

17/12/2023 Bonjour à toutes et à tous,

Tandis qu’un attrape une grosse conjonctivite à Chiang Mai en caressant les chats des rues, l’autre fait de l’urbex à Madère.

On ne va pas le refaire celui-là non plus.

Quand il ne descend pas des volcans en éruption la nuit, en courant, il escalade de jour les façades des maisons abandonnées pour les visiter.

Ah ben oui, ça a le mérite toutes les fois qu’il nous joigne des vidéos à ses exploits, comme son parcours sur la muraille de Chine dernièrement.

A force, je pense qu’il finira par dégoter la maison de ses rêves et partira s’y installer pour réaliser la suite de ses projets.

C’est son échappatoire pour ne pas finir neuneu à cause des contraintes de son boulot, qu’il adore du reste, mais pas dans les conditions actuelles.

Quant à celui qui est en Thaïlande, via Singapour puis la Malaisie, c’est pas faute de lui avoir répété quand il était petit qu’on ne touche pas les animaux qu’on ne connait pas.

J’avais quand même réussi à le convaincre, enfant, de ne pas parler aux gens qu’il ne connaissait pas et encore moins de les suivre, à grand renfort de jeux de rôle.

C’était une de mes grosses angoisses quand mes kids étaient petits, qu’on puisse les kidnapper.

Cette crainte est sans doute née parce que lui étant si sociable, il serait parti avec n’importe qui…

En rencontrant une amie, j’ai bien pensé à mes deux baroudeurs, sûre que ses projets leur auraient plu.

Quand elle m’a montré les kits voyage qu’elle préparait pour la commercialisation, franchement, j’en suis restée béate d’admiration.

Et quand elle a sorti entre autres son verre de voyage en métal totalement repliable, j’avoue que j’ai adoré.

J’attends de découvrir ces kits, bientôt suivis de nombreux autres, zéro waste et surtout zéro plastique.

Son combat à elle pour le zéro waste ne se limite pas au blablabla, j’en ai eu la preuve.

Ayant fait un vaste tri dans mon matériel de bricolage pour le lui confier, elle a débarrassé toutes les pièces des contenants de plastique dans lesquels elles étaient conditionnées.

C’est vraiment la seule personne que je connaisse ici qui ne déroge pas à sa ligne de conduite, quelle magnifique source d’inspiration !

Bien à vous,

Isabelle