« Bienvenue au Club des Invincibles »

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19/01/2022 Bonjour à toutes et à tous,

Bienvenue au Club des Invincibles que j’ai répondu à la petite fleuriste de Nantes quand elle a lâché un je me croyais invincible…

Elle avait annoncé sur les réseaux sociaux qu’elle était ainsi la dernière de la famille à tomber sous les salves du virus.

Et à liquider aussi toutes ses fleurs coupées, fermant boutique pour la semaine, ce qui me fit doublement de la peine pour elle.

Pour le coup, Macron a dû trouver les bons conseillers dans ses réseaux occultes.

Faire tomber comme des mouches les quelques réfractaires à la vaccination qu’il était bien déterminé à emmerder, bravo

Pour mémoire, bien d’autres ont dérouillé, comme l’un de mes proches, qui pourtant vacciné et rappelé tout autant, a affiché positif pour la deuxième fois !

Pour le coup, celles et ceux qui trouvaient peu à redire sur la méthode utilisée à titre préventif à l’échelle nationale commencent à réagir…

Et si on s’était moqué d’eux ?

Et si on leur avait menti ?

Et si le vaccin était inefficace ?

Et si on n’avait vacciné que la population à risque ?

Moi, pendant ce temps-là, je rigole sous cape.

Car ayant flairé le truc depuis le début, je n’avais pourtant pas convaincu grand monde de la supercherie.

Je m’étais même faite rabrouer à mettre en doute le bien fondé de cette vaccination massive dont on annonçait qu’elle allait stopper l’épidémie.

Mais bien sûr…

Sauf que j’avais déjà pas mal de recul et d’expérience en la matière, quand même.

Et des sources d’informations autres que gouvernementales ou issues du lobby pharmaceutique, mêmes intérêts, mêmes magouilles.

Voilà donc, la supercherie retombe comme un gros soufflé qui n’ayant que trop gonflé retombe mollement, effet raté.

Bon, et maintenant on fait quoi de cette grande flaque d’eau boueuse dans laquelle tout le monde a pataugé ?

Mais bien évidemment qu’il n’y aura jamais personne pour reconnaître l’erreur, et depuis, le mal est fait.

Paix aux victimes collatérales, aux vieilles et aux vieux, qui dans l’isolement le plus inhumain n’ont pu être accompagné·e·s en fin de vie.

Sûr qu’on ne les entendra jamais se plaindre…

Bien à vous,

Isabelle

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