« Comme un cadeau »

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17/11/2023 Bonjour à toutes et à tous,

En ce 17 Novembre 2023, 50 ans après que Mère, la fondatrice d’Auroville ait quitté son corps, j’ai vraiment reçu comme un cadeau cette belle rencontre totalement fortuite.

Parce que je ne crois pas au hasard, et encore moins ici qu’ailleurs, il fallait sans doute qu’il en soit ainsi.

Les connexions se font d’elles-mêmes et on rencontre les bonnes personnes au bon moment.

Tout comme on a les expériences qui nous correspondent, dixit Mère elle-même.

Nous avons succinctement échangé mais su immédiatement ce qui nous liait, l’eau… c’est peu banal.

Cela me replongeait dans mes recherches depuis de nombreuses années, jusqu’aux travaux de Viktor Shauberger qui m’avaient tant enthousiasmée, ainsi qu’un de mes amis, assez récemment.

C’est donc tout naturellement que je leur proposais de se rencontrer dès que possible, pour échanger à propos de leurs recherches.

L’avantage de cumuler les années, je me faisais la réflexion dernièrement, c’est de cumuler aussi les expériences de vie.

Ainsi, arrivé à un certain âge, on aura plus facilement des points communs avec d’autres personnes qui auront sensiblement donné la même orientation à leurs vies.

Ça offre la possibilité de se focaliser rapidement sur l’essentiel de ce qui fait la richesse des rencontres.

Pas besoin d’échanger sur la saveur d’un plat de pâtes ou sur le dernier scoop d’une célébrité, avoir une conversation à un autre plan de conscience, ça évite bien des paroles inutiles.

Ceci dit, les pâtes connaissent aussi leur moment de gloire, et échanger à leur propos dans le cadre d’un repas, par exemple, c’est sympa.

Mais comme on ne peut pas croiser les parcours de deux vies puis de trois en quelques heures, ça va prendre un petit peu plus de temps, ce bouillon de cellules.

Mais comme on est tous au diapason, je n’ai aucun souci pour que la mayonnaise monte, et une fois de plus, on remet tout entre les mains de qui on sait.

Bien à vous,

Isabelle