« Coutin sous toutes les coutures »

01/09/2017 Bonjour à toutes et à tous,

Coutin sous toutes les coutures - Crédit photo izart.fr

Coutin sous toutes les coutures – Crédit photo izart.fr

L’atelier écriture avait démarré sous les meilleurs auspices.

Les pieds dans l’herbe, à l’ombre des grands arbres, nous ne souffrions plus trop du soleil en cette fin d’après-midi.

L’inspiration était même au rendez-vous pour remplir les pages du livre d’or, au fur et à mesure des indications de l’animatrice.

Et puis, les yeux dans le vague, quand il a fallu trouver une première phrase que les autres compléteraient de la leur, m’est passée une drôle d’idée en tête.

Devant moi, alors que défilaient des joggers, croisant pêle-mêle des cyclistes, des promeneurs, des baby-sitters, des mamans, des papas, des pépés, des chiens, des oies… j’ai écrit et proposé j’aime regarder les gens.

A ma gauche, G. a soudain fredonné j’aime regarder les filles… et plein d’autres rengaines, très inspirées par les phrases qui fusaient.

Sur mon petit bout de papier, c’était chouette, tous les gens avaient rajouté quelque chose en relation avec l’amour 😉

Et plutôt sympa, parce que des fois c’était plus hermétique ou plus surréaliste, nos compositions écrites…

Et on a encore bien rigolé, les fesses dans l’herbe, en imaginant la tête que ferait notre interlocuteur découvrant tout cela… consommation de quelque substance illicite ???

Ah oui, parce que j’ai oublié de vous dire, je suis invitée à une belle rencontre, vendredi 🙂

Et me suis faite un plaisir d’y répondre favorablement, devinez !

Je laisse un peu planer le mystère, mais promis, je garde le compte-rendu de cette visite pour le partager dans ces mêmes lignes dès le lendemain ♥

Et pour en revenir à notre ami Patrick, je vous avais déjà parlé de lui, mais voilà autre chose de lui que j’ai découverte très récemment, de façon complètement fortuite sur les ondes de ma radio préférée…

Épluchez Coutin sous toutes les coutures, autant vous dire qu’il ne fait pas dans la dentelle.

Vous connaissiez ce titre, vous, en fin de Petite chronique, qui a eu beaucoup moins de succès qu’un certain autre ?

Bien à vous,

Isabelle