« Des réparations après l’accident »

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19/01/2023 Bonjour à toutes et à tous,

Il me fallait bien envisager des réparations après l’accident.

Oui, des réparations pour moi, pas pour le vélo, il n’avait eu aucun bobo dans l’affaire, lui…

J’ai attaqué le programme de la journée à 7:12 précisément, en faisant tourner une machine.

Paraît qu’on ne peut l’utiliser avant, pour ne pas gêner le voisinage.

Tu parles, ce matin-là, un indien étendait déjà ses draps au soleil quand moi j’allais faire ma lessive

Ensuite, j’ai eu le temps de prendre mon petit-déjeuner, faire un peu de ménage, un peu de couture, cuire des haricots, et c’était l’heure d’aller chercher mon linge.

Ah oui, je ne vous ai pas dit pour mon colocataire, il s’est absenté quelques semaines, le rythme change donc sensiblement.

Bon, il n’a pas eu le réflexe de défaire les draps de son lit avant de partir… merci qui ?

Le linge étendu, j’ai filé prendre mon vélo puis ai chargé la boîte de compost pour le jardin et le seau pour le chien.

Avec ma clef USB et ma gourde, j’étais tout à fait prête à affronter le programme chargé du mat

Étape numéro un pour obtenir une copie papier de mon visa, j’étais par chance la première dans le bureau dédié.

Moins de chance au deuxième bureau par contre, la personne que je souhaitais rencontrer était absente.

Je jetai un oeil sur l’heure en arrivant au jardin.

Parfait, j’avais exactement 20 minutes devant moi pour vider le compost et arroser les plantes, pas de cueillette par contre.

Ayant fini mon arrosage, je constatais que j’avais même du rab sur le timing.

Cela me permit de passer récupérer la gourde que mon cher colocataire avait oubliée dans le taxi, la veille.

Bon, entre nous, quand je l’avais croisé vraiment par hasard au moment-même où il montait dans le taxi, je m’étais interrogée.

Comment fait-il pour ne rien perdre, avec en main deux sacs plus un tote bag, une gourde et une paire de chaussures ?

Ben voilà, moi j’étais prête pour mon rendez-vous, et je devinais déjà que j’allais souffrir…

Le pire fut les pressions sous le genou pour décongestionner les stases du mollet, provoquées par le choc.

Idem pour les doigts de pieds du côté gauche de mon corps, une manipulation efficace les fit craquer tous en même temps, résultat garanti…

Bref, comme d’habitude je ressortis quasi neuve et avec l’immense plaisir de ressentir que tout mon corps respirait à nouveau.

Ne me restait plus qu’à donner le seau de nourriture au chien en passant et j’étais prête à rentrer, mission accomplie !

Bien à vous,

Isabelle

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