« Goa, ses bungalows en bord de plage »

27/08/2016 Bonjour à toutes et à tous,

Goa, ses bungalows en bord de plage - Crédit photo izart.fr

Goa, ses bungalows en bord de plage – Crédit photo izart.fr

Ayant évoqué le nom de Goa, j’ai été très étonnée par la description parfaite que m’en ont donnée mes amies voyageuses !

Goa, ses bungalows en bord de plage

Mais je n’en connaissais pas la suite.

Ses vieux babs, ses camés, ses escorts, ses fêtards, ses soûlards et ses paumés aussi, je les ignorais tous ceux-là.

Ah, ça change le décor féerique du village de pêcheurs que j’avais en tête, suite à la description qui m’en avait été faite.

Enfin, la bonne nouvelle dans tout ça, c’est que je n’y suis jamais allée, voyage compromis par un imprévu.

Pourtant je devais y aller pour la bonne cause, c’est à dire aller bénéficier de soins auprès du renommé médecin ayurvédique Dr Varma

Mais bon, comme quoi faut jamais forcer le destin.

C’est ce que je me suis dit après 5 tentatives infructueuses pour récupérer cette fichue lettre recommandée dont je vous ai parlé hier.

Ben finalement j’ai compris, il ne faut pas que je la récupère…

Ah oui, parce qu’elle joue la fille de l’air.

Perdu sa trace par ci, sa destination par là, son enregistrement ailleurs, incroyables toutes ces coïncidences !

Et puis d’un coup, ça y est j’ai compris, il ne faut pas que je la récupère.

Donc elle va repartir d’où elle vient tout simplement.

Oubliée l’intrigante, on ne saura jamais qui l’a envoyée.

Le pire, alors qu’on l’avait localisée « ailleurs » hier, personne n’est venu pour me la faire signer ce matin !

Ni même un avis de passage dans la boîte aux lettres !!!

Alors ça fait 3 jours qu’elle passe de mains en mains…

La preuve qu’une lettre recommandée ne garantit pas ce qu’elle devrait être, même si on en paie le prix pour cela.

C’est à dire que votre courrier devrait être traité en priorité et que son enregistrement permettrait une traçabilité fiable 🙁

Quoi qu’il en soit, d’ici peu tout cela ne sera qu’un lointain souvenir, paraît qu’en Inde, ils n’ont pas ces genres de problèmes…

Bien à vous,

Isabelle