« J’ai touché terre au pays des hibiscus »
16/01/2019 Bonjour à toutes et à tous,
Donc 5:00 de vol plus tard, j’ai touché terre au pays des hibiscus 😉
Mais à ce moment précis, je sors de faire quelques brasses dans la piscine de la résidence en cette chaude fin de journée.
J’ai programmé de faire une séance par jour pour retrouver les gestes du dos crawlé oubliés depuis… l’épreuve du BEPC, c’est vous dire !
Mon très contemporain Airbnb du 5ème étage offre une vue à 360° sur l’horizon alternant entre architecture de tous styles et verdure à foison.
Mais impossible de monter au 25ème pour admirer encore plus, l’accès se limite à l’étage où je réside.
Car ici comme partout ailleurs, tout est badgé et hautement sécurisé.
Du passage piéton à l’entrée des voitures filtrés par un gardien, de l’accès à l’immeuble à celui des cages d’escaliers, salle de sport, sauna, ascenseur, c’est pareil.
Autrement, me reste la voie des escaliers pour admirer le paysage, mais… je ne suis pas encore prête psychologiquement.
Et non, je n’ai jamais bénéficié d’un entraînement de pompier 🙁
Pour échapper aux inondations, ici chaque immeuble de construction récente est élevé sur une base de premiers étages réservée aux parking pour voitures.
Astuce à retenir pour éviter le flot de voitures stationnant à l’arrache dans toutes les villes de France où la voiture est reine…
Qui dit changement de pays, dit aussi souvent changement de créneau horaire.
Quand Paris affiche 6:00, il est 10:30 à Pondicherry mais déjà 13:00 en Malaisie, le décalage est encore plus grand entre vous et moi 😉
Entre parenthèse, j’aurai pu tout aussi intituler cette Petite chronique Malaise en Malaisie,
C’était facile j’en conviens, mais peut-être dangereux.
Parce que le roi a subitement abdiqué le 06 Janvier 2019, soit une semaine avant mon arrivée.
Pour convoler en justes noces au bras d’une ex-miss russe.
Mais nous sommes ici en monarchie d’un modèle unique au monde avec une population à majorité musulmane.
Et toute critique vis à vis du roi est passible de poursuites.
Bien à vous,
Isabelle
