« J’aime bien le sousréalisme »

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19/03/2023 Bonjour à toutes et à tous,

J’aime bien le sousréalisme, qu’elle me dit, sans se rendre compte de la faute de vocabulaire.

Mais le fait est que le français n’est pas sa langue maternelle.

J’acquiesce immédiatement parce qu’en fait je déteste les œuvres de l’expo que nous venons de parcourir au pas de course.

Alors son expression est tout à fait appropriée.

En fait, nous suffiquons l’une comme l’autre sous la chaleur des spots associés à un espace confiné sans ventilation.

Le tout agrémenté d’un permanent qui nous serre de près en nous vantant la qualité de son travail…

Courage fuyons !

Rien à voir avec l’excellent rendu du travail de Cédric Bregnard, par contre, qui ouvrait, ce jour, l’oeuvre finale au public.

Par bonheur, nous lui avons rendu visite trente minutes plus tôt pour le féliciter, juste avant que la foule n’envahisse la galerie.

Jamais deux sans trois, c’était écrit ce jour-là !

On a donc frôlé l’agoraphobie en nous engouffrant dans une troisième salle pour parcourir une troisième exposition.

Celle-ci, je l’ai visitée à la vitesse V avant d’aller me poser au soleil, en attendant mon amie.

Elle a fait ici sa bonne action du jour, consacrant du temps pour être à l’écoute d’une personne qu’elle n’avait pas revu depuis fort longtemps.

Et puis après… on s’est sauvé à toute allure pour regagner nos pénates, sauvages que nous sommes, l’une et l’autre !

Oh My God, O Mio Dio, je sais même le dire en italien maintenant.

Nous avions notre dose de Public Relation après avoir au préalable déjeuné ensemble, dans un restaurant grouillant de touristes.

Je crois qu’aujourd’hui j’ai même atteint mon seuil de saturation de l’année.

Se poser enfin au frais et au calme, devant un café avec un carreau de chocolat, what else ?

Bien à vous,

Isabelle