« Épilation suite et fin »

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18/03/2023 Bonjour à toutes et à tous,

Épilation suite et fin, malgré la torture, le résultat en valait la chandelle.

Sauf que tout ne s’est pas vraiment déroulé comme prévu.

Parce que ça a pris beaucoup de temps.

Beaucoup plus de temps que prévu.

D’abord faire, avec l’inspiration du moment, un premier dessin, puis reproduire ce dessin, ensuite repasser les traits du dessin, et finalement piquer…

Avec un tracé de formes géométriques, héritées d’ancestrales traditions indiennes, cela représentait beaucoup de travail.

D’ailleurs, durant ces longues heures de tatouage, ils ne mangeront pas, ni l’un ni l’autre.

Sauf que l’un ne s’y attendait absolument pas, et plutôt que de faire attendre l’amie avec laquelle ils s’étaient donnés rendez-vous, ce dernier fut purement et simplement annulé.

Ensuite, il avait été convenu préalablement que ce serait le poignet, dans l’échange en ligne avec le tatoueur.

En fait, peut-être emporté par l’inspiration, le tatoueur couvrit… tout l’avant-bras.

Mais le résultat fut à la hauteur de cette cascade d’imprévus.

Tatouage unique, connecté selon le rituel de l’artiste, il est de très belle facture.

Quant à la fin de l’histoire, elle ne manque pas non plus de piquant.

Après huit heures de trajet aller en train pour rencontrer ce tatoueur renommé basé à Londres et de passage en Inde, il dit à ce dernier son intention de prendre le bus pour le retour.

Celui-ci fut très heureux d’apprendre qu’un bus permettait de l’amener dans cette ville.

Car justement il envisageait de s’y rendre et, renseignements pris, il abandonna l’idée d’y aller en avion.

Alors, à votre avis, dans quelle ville allait-il se rendre le lendemain ?

Pondy, bien évidemment !

S’il avait eu connaissance de cette info avant, ça qui lui aurait quand même évité de cumuler seize heures de voyage en deux jours pour rencontrer ce tatoueur précisément.

Mais bon, vu la réputation de ce dernier et la qualité de son travail, il était gravement motivé pour cette première expérience, next…

Bien à vous,

Isabelle