« La police des machines à laver »

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25/11/2023 Bonjour à toutes et à tous,

La police des machines à laver - Crédit photo izart.fr
La police des machines à laver – Crédit photo izart.fr

Il semblerait que la police des machines à laver ait à nouveau frappé dans la semaine, vu les preuves cumulées.

Premier constat un matin, lorsqu’une personne bien intentionnée avait balayé la buanderie dans laquelle est stockée la machine à laver.

Deuxième constat, le tas de balayures et de terre avait été rassemblé à l’intérieur, mais non évacué et placé juste devant la porte d’entrée du local.

Troisième constat, en prenant mon vélo, le matin suivant, le meilleur accueil me fut réservé par un chat qui dormait sur ladite machine à laver et était visiblement resté enfermé la nuit.

Ce qui laissait à penser qu’il y avait passé la nuit, c’est l’odeur et la vue d’une grosse merde trônant derrière la machine à laver.

Quatrième constat, deux jours plus tard, le caca de chat était toujours présent.

Mais le tas de balayures, entre-temps dispersées par les battements de la porte, s’était reconstitué.

Cinquième constat, il était venu mystérieusement se coller contre la roue avant de mon vélo… était-ce un indice supplémentaire ?

Le hasard faisant bien les choses, il se trouve qu’une coupure d’électricité dura une demi-journée, laissant une lessive en attente dans la machine durant tout ce temps-là.

Ayant changé de tactique et opté pour le démarrage de mes lessives dès 7:00 du matin, je remerciais le ciel pour la divine inspiration ce jour-là.

Sixième constat, la merde de chat demeure au fil des jours et le tas de balayures aussi

Septième constat, de lourds soupçons pèsent sur une même et unique personne qui constituerait la police des machines à laver, à l’origine de ces désagréments.

Élémentaire puisque cette groupuscule revendique être à la fois en possession du chat… et de la machine à laver, du moins dans le texte, cette affirmation n’ayant jamais été vérifiée.

Huitième et dernier constat, tu es poussière et tu retourneras poussière…

Bien à vous,

Isabelle