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« Le pachadoudou après le rapamadou »

23/02/2019 Bonjour à toutes et à tous,

Le pachadoudou s’est glissé dans la conversation après avoir poussé la porte d’une boutique de Jaisalmer.

Car le vendeur se présentant comme Ali Baba, souhaitait, entre autre, rencontrer l’âme soeur, sa pachadoudou !

Ce qui bien sûr nous fit rebondir car le pachadoudou après le rapamadou du matin, le délire était total.

Ah oui, notre Bande de blandes est aussi en train d’écrire un rap, le rapamadou, je ne vous ai pas raconté ?

Le matin donc, il fait bon farnienter un peu dans la chambre tandis que jacassent les corbeaux sur les terrasses.

Puis sortir les ordinateurs pour se reconnecter avec le monde entier, voire écouter quelques bons titres sur You Tube.

Et même inventer le nôtre, en hommage à l’une d’entre nous !

Dès qu’il est prêt, je vous le dévoile, promis 😉

De temps en temps, oui, c’est VRAIMENT bon d’avoir la vie de princesse.

Plus précisément de maharani, comme se plaît à dire S. le gérant, pays des maharajas oblige !

Jeera rice par ci et ginger lemon honey par là, dans notre petite guesthouse, le repas est servi à la carte.

Et au gré de l’emploi du temps et des envies des hôtes.

En haut, sur la terrasse protégée du soleil, vous profiterez de la belle lumière qui éclaire les façades dorées du Fort.

C’est là qu’est servi en outre notre repas, avec vue panoramique sur les terrasses environnantes et le ciel bleu du matin au soir.

Aucun véhicule ne circule dans la ruelle très étroite, à part une ou deux motos qui s’y aventurent de temps en temps.

Pour votre confort, un poêle est rempli de bois tous les jours pour chauffer l’eau des douches.

De temps en temps retentit la clochette du temple voisin lorsque quelque fidèle vient à y passer.

Simple, simple et simple, what else ?

Bien à vous,

Isabelle