« Lettre à un nouveau-né »

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13/10/2019 Bonjour à toutes et à tous,

« Lettre à un nouveau-né,

Mon cher petit, un mois après ta naissance je me réjouis toujours autant de ta venue dans le monde des yeux ouverts.

Mes angoisses s’estompent un peu alors que, tout yeux tout ouïe, tu découvres à ton tour la vie autour de toi.

Mais j’ai toujours une inquiétude face à l’hyper médicalisation qui plane autour de vos corps de bébés dès la naissance.

Et que la médecine ose vous imposer, par là-même, ce qui est bon… pour elle.

En effet, 11 vaccins obligatoires et ordonnés à tous les nouveaux-nés, je sens ta santé et ta liberté gravement menacées.

Les lobbies pharmaceutiques ont suffisamment apporté la preuve de leur puissance et parallèlement de leur nuisance.

La cohorte de scandales sanitaires n’a hélas pas fini de faire parler d’elle quand elle ne réduit pas les témoins au silence…

Avec des gens de mon âge, nous constatons hélas que nombre de libertés se sont insidieusement réduites comme peau de chagrin.

Côté liberté d’expression par exemple, plus personne aujourd’hui ne se risquerait à parler comme un Coluche ou un Desproges

Mon corps m’appartient scandaient les féministes d’alors, et aujourd’hui les Femen défilent en silence avec je ne voulais pas mourir

Défiler en France est d’ailleurs même devenu un acte dangereux depuis quelques temps.

Entre le climat qui se détériore, la planète qui s’épuise, l’environnement qui se dégrade et la qualité de vie qui s’amenuise, comment dire ?

De tout mon coeur, je te souhaite d’être fort car le parcours est jalonné d’intérêts et de profits, prêts à te manipuler.

Et vous, nouveaux parents, quel sera vôtre rôle dans ce difficile pari sur l’avenir de donner vie en 2019 ?

Faire acte de résistance plus que jamais, résister aux pressions, aux lobbies, aux menaces, aux intimidations ?

J’ose croire cependant que vous pourrez faire entendre vos voix, vos priorités et vos engagements pour la vie.

Mais la tache ne sera pas simple…

J’ose espérer que tu auras toi aussi la chance de voir s’envoler des nuées de papillons d’un foin mûr.

Que tu auras le bonheur de goûter, tout près de chez toi, au miel en rayon chez un apiculteur passionné.

Que l’air du printemps sera saturé du parfum du lilas comme celui d’été de tilleuls en fleurs.

Les pieds et les mains dans le sable, l’eau ou la terre, puisses-tu toucher avec émotion aux éléments naturels.

Avant d’être exposé aux clichés dénaturés.

Et qu’il reste assez d’air, de pluie, de neige et de soleil pour venir caresser ta peau.

Que tu sois enfin émerveillé par tout et pour rien, aussi longtemps que le rêve te bercera.

Sois heureux,

Mamisa« 

Bien à vous,

Isabelle