« Quelque part sur la terre comme au ciel »

14/10/2012 Bonjour à toutes et à tous,

Quelque part sur la terre comme au ciel.

Il y avait un arrière-goût de vacances.

Il y avait la cupidité d’un patron requin.

Il y avait la menace du licenciement.

Il y avait le poids des années.

Il y avait la responsabilité d’une famille.

Il y avait une femme avant la mère.

Il y avait une femme après la mère.

Il y avait un écœurement général.

Il y avait une lassitude pesante.

Et puis on a parlé, parlé, parlé…

De Boris Cyrulnik qui a connu l’expérience de la résilience à l’âge de six ans, aux événements de 2012 avec cette énergie presque palpable qui monte vertigineusement.

Puis de l’opportunité à saisir des imprévus dans sa vie pour en faire des tremplins.

Et encore des enfants qui répondent à l’appel de la vie et qu’on découvre adultes.

On a parlé, parlé, parlé et pris le thé sur la terrasse ensoleillée.

Et puis il y a eu cet instant magique, en levant soudainement la tête, cet instant magique capturé quelque part dans le ciel.

Ils allaient de l’avant, toutes ailes déployées en un V victorieux, confiants, vers un autre possible…

Il n’y avait plus rien à ajouter.

Tout apprendre d’un regard.

Bien à vous,

Isabelle